L’ÉCOLE EST FINIE
Posté par rabelaisblog le 3 juin 2012
C’est un récit de science – fiction. L’action se passe en 2028. Le narrateur est un adolescent. Il va dans une école privée parce qu’il est pauvre.
Le garçon va dans une école qui appartient à un magasin de bricolage. Quand il a de bonnes notes, il reçoit des bons de réduction du magasin. Pour pouvoir vivre, le père du narrateur échange les bons contre d’autres.
Le jeune n’apprend pas grand chose dans cette école: il apprend à bricoler et à être un bon employé, mais il ne reçoit pas de culture générale. Le garçon n’est pas heureux dans cette école mais il est amoureux de sa voisine de palier, Lila. Elle est à l’école d’un fast food. Malgré son amour pour le voisin, Lila décide de partir dans le sud de la France pour aller à l’école du Maquis. Cette école est illégale, elle est donc cachée dans les caves des maisons. On y apprend à lire, à écrire et à penser.
Lila est recherchée par la police et ne peut plus voir personne. Son amoureux aurait bien aimé la rejoindre mais ses parents ont peur et ne le laissent pas partir…
C’est une récit engagé qui avertit qu’il faut protéger l’école publique.
La classe d’accueil (qui recevra l’auteur le 23 juin à St Maur en Poche.)
Effectivement grand privilège qu’un auteur en personne vienne découvrir un article sur son propre ouvrage publié par la classe d’accueil.
Merci pour votre bref passage sur le RABLOG Mr Grevet. Je serai impatient de voir la future interview de ce dernier à Saint-Maur en poche, sûrement passionnante.
Je me suis trompé, la fin n’est pas triste..
Quelle honorer, Yves Grevet a commenté notre article. Je suis impatiente de pouvoir connaître l’auteur du livre que nous rencontrerons à Saint Maur en poche.
Un grand merci aux élèves de la classe d’accueil du collège Rabelais pour votre lettre et votre critique de L’école est finie. Je suis très heureux d’avoir bientôt l’occasion de tous vous rencontrer pendant le salon de St Maur en poche. A très bientôt. Mes amitiés.
Yves
J’aime bien votre résumé mais une chose m’intrigue. Ce « garçon », n’a t-il pas un nom précis dans le récit ? On le cite toujours comme un tel inconnu ? C’est pourtant l’un des personnages principaux à 1ère vue quand je lis l’article.
Je ne crois pas que la fin soit si triste… l’espoir est présent me semble-t-il. Nous en parlerons en classe demain. Il faudrait aussi commencer à réfléchir aux questions que nous aimerions poser à l’auteur.
J’ai adoré ce livre, un petit peu triste à la fin, mais quand même un bon livre.