CHERUB N°3 : ARIZONA MAX
Posté par rabelaisblog le 13 mars 2014
CHERUB N°3 : ARIZONA MAX
SI MON LIVRE ÉTAIT…
Si mon livre était un paysage ce serait un paysage désertique ; la majeur partie du livre se déroule dans une prison qui se trouve dans le désert. Mais le désert est aussi l’emblème de la solitude et de l’abandon, c’est la sensation qu’on les détenus : ils n’ont pas d’amis (solitude), et ils abandonnent tout espoir de reprendre un jour une vie meilleure. Dans ce livre, le héro James Adams, agent de l’organisme CHERUB, devra entrer dans une prison pour mineurs d’Arizona, se faire passer pour un détenu et se lier d’amitié avec le fils d’un très célèbre couple de gangster actuellement recherchés.
« Au cœur du désert brûlant de l’Arizona, 280 jeunes criminels purgent leur peine dans un pénitencier de haute sécurité. Plongé dans cet univers impitoyable, James Adams, 13 ans, s’apprête à vivre les instants les plus périlleux de sa carrière d’agent secret. Il a pour mission de se lier d’amitié avec l’un de ses codétenus et de l’aider à s’évader d’Arizona max. »
Si mon livre était une citation ce serait : « On a deux vies. La deuxième commence le jour où on réalise qu’on en a qu’une. » de Conficius. Cette citation reflète bien les pensées des détenus : ils se rendent compte de leurs erreurs une fois qu’il est trop tard pour se rattraper et qu’il n’auront pas la chance de se reprendre en main, ils n’auront pas de deuxième vie.
Pour aller plus loin…
Confucius, sage chinois, est né dans l’État de Lu (actuelle province du Shandong), Confucius aurait vécu à une période où les empereurs de la dynastie des Zhou avaient perdu leur autorité sur l’ensemble du pays. Du personnage historique, on sait seulement qu’il est issu d’une famille noble déchue – ses ancêtres auraient appartenu à la maison ducale de l’État des Song. Après une jeunesse passée dans la pauvreté, Confucius occupe de hautes charges dans le gouvernement de l’État de Lu, comme ministre de la Justice et comme ministre intérimaire. Il s’illustre par la médiation qu’il entreprend au moment où le prince de Lu entre en guerre avec le prince de Qi. Malheureusement, sa vie politique sera brève. Vers 496 avant J.-C. , il doit s’exiler, par suite d’une intrigue politique. »
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Si mon livre était un aliment ce serait sans doute le piment, d’une part parce que ce livre est très « pimenté » car il est très intriguant, avec beaucoup de rebondissements… Et tout comme le piment, riche en goût, ce livre est riche en suspense et surtout ce livre est très accrocheur.
Si mon livre était un animal ce serait le renard. En effet, il s’agit d’un animal très rusé et très vicieux, tout comme le personnage principal, lorsqu’il doit se faire passer par un détenu pour pouvoir libérer le fils des gangsters, et il détient toutes les qualités qu’un agent secret doit avoir. En effet dans le livre, le héro dans s’échapper de prison avec le fils des gangsters, il faut être rusé, habile, machiavélique pour réussir à un jour s’échapper de prison, élaborer un plan d’une stratégie redoutable et mettre son plan a exécution. Ce sont les qualités qu’on pourrait donner à renard : rusé, habile, intelligent,…
« Vous devrez vous montrer extrêmement prudent lorsque vous vous trouverez dans cette zone, Car il aura sous la main le bouton qui déclenche l’alarme générale et qui boucle toutes les portes de la prison. Si ça se produit vous ne pourrez plus les ouvrir, même avec une carte magnétique. Quand vous serez sorti du bloc avant d’atteindre la double enceinte vous devrez passer par la salle de repos du personnel. Il est peu probable que vous y rencontriez qui que ce soit. D’après mes informations c’est une pièce insalubre pas le genre d’endroit où les surveillants aiment traîner après leur service. [...]«
Si mon livre était un objet ce serait une arme ; l’histoire se déroule dans une prison, et dans ce livre on remarque très vite que la vie là bas, n’est pas de tout repos, j’ai en effet choisi l’arme car comme dans un duel, c’est la loi du plus fort, toujours le plus gros calibre qui l’emporte. Dans ce livre courage rime avec force, sans l’un il n’y a pas l’autre. James était très fort, il avait reçu d’indomptables entrainements de combat mais n’était rien à côté de ces caïds ; parce qu’ en vérité, James ne savait rien du monde réel, il s’entraînait seulement quelques fois au simulateur, mais les autres détenus, eux, purgent une peine pour des faits atroces.
« Stanley arma son bras et s’apprêta à frapper. Dave bloqua son poignée avec une facilité déconcertante, lui donna un violent coup de coude à l’estomac puis, au moment où son adversaire se pliait en deux sous l’effet de la douleur, il balaya ses chevilles d’un ample mouvement de la jambe et l’envoya un rouler au sol. »
Mon livre en 3 mots :
Amitié : Malgré que le héro ne soit qu’en mission, il se lie d’une amitié très forte avec la cible, malgré sa lutte contre ça. Mais le livre nous apprend un très bel enseignement sur l’amitié : L’amitié est plus fort que tout.
Quelques citations de Balzac pour justifier:
- “Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme, est un sentiment qui manque à l’amour, la certitude”
- “Le malheur a cela de bon qu’il nous apprend à connaître nos vrais amis”
- “Rien ne renforce plus l’amitié entre deux hommes que lorsque chacun des deux considère qu’il est supérieur à l’autre”
Le saviez vous ?
Robert Muchamore, dernier d’une famille de quatre enfants, voit le jour le 26 décembre 1972 à Tufnell Park, au nord de Londres, là même où il fera naître deux de ses principaux héros, James et Lauren Adams. Peu motivé par les études, il enchaîne les petits boulots avant d’être embauché par une agence de détectives privés, « ce qui, dit-il, est loin d’être aussi intéressant que ça en a l’air ». En 1999, alors qu’il passe quelques semaines en Australie, chez l’une de ses soeurs, il entend son neveu d’une douzaine d’années se plaindre de ne rien trouver d’intéressant à lire. Robert Muchamore, que l’envie d’écrire tenaillait depuis longtemps, a trouvé son « créneau » : il se lance dans la rédaction de ce qui deviendra le premier tome de la série CHERUB, 100 jours en enfer parution avril 2004.
C’est le début d’un succès qui ne se démentira pas. Robert Muchamore quitte alors son agence de détectives privés et se consacre à plein temps à l’écriture.
POUR EN SAVOIR PLUS SUR ROBERT MUCHAMORE
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UNE NOUVELLE COUVERTURE ET UN NOUVEAU TITRE
J’ai choisi cette couverture car elle reflète parfaitement, la vie en prison, donc l’histoire. Comme je l’ai expliqué précédemment, l’histoire tourne autour d’une tentative d’évasion ; et sur cette image on voit bien la sensation d’étouffement, qui est beaucoup montré dans ce livre.
C’est un livre que j’ai beaucoup apprécié, d’une part pour son réalisme et d’une autre part pour les sensations qu’il procure, que ce soit pendant ou après la lecture, ce livre fait beaucoup penser. « Entre 4 murs » va bien avec l’histoire également car le héros, James, était enthousiaste de commencer cette mission, mais une fois à l’intérieur il n’avait envie que d’une chose c’était de sortir de cet enfer. Il se sentait à l’étroit d’où le nom « Entre 4 murs » ; malgré cela, il a mené ça mission avec brio.
Maxime 4°7
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