EMILE ET LES DETECTIVES
Posté par rabelaisblog le 19 janvier 2017
Emile et les détectives
Erich Kastner:
Si mon livre était des couleurs ça serait les couleurs bleu et rose car ce livre émet deux émotions différentes comme ces deux couleurs. Le bleu me fait penser à l’angoisse et le rose à la joie. J’ai angoissé quand Emile, le jeune héros de ce livre se trompe de gare et ne peut pas voir sa grand -mère et je me suis réjouie quand il s’est fait des nouveaux copains à Berlin en sortant de la gare, qui ensuite vont le suivre et l’accompagner tout au long de son aventure.
Si mon livre était un instrument de musique ce serait un *Ukulele car aucun moment dans ce livre n’est triste. Il y a du mystère mais jamais de tristesse… Ce livre est plein d’émotion quand Emile prend le train de Neustadt pour la première fois dans l’idée d’offrir un bouquet de fleurs à sa Grand mère, plein d’émotion quand il rencontre ses copains, plein d’émotion quand il poursuit celui qui lui a dérobé son argent, plein d’émotion quand l’un de ses copains tombe amoureux, et enfin plein d’émotion quand, une fois l’argent retrouvé, la grand mère invite tout le monde autour d’un repas.
Si mon livre était une partie du corps ce serait les pieds car dans ce livre Emile et sa bande de copains vont courir dans toute la ville pour rattraper un voleur surnommé « l’ homme au chapeau melon ». Cet homme a prolongé son voyage pour voler Emile et plonger sa main dans la poche intérieure du manteau du jeune garçon qui s’était endormi au moins durant la moitié du voyage qui le menait à sa grand mère. « l’homme au chapeau melon » a profité qu’Emile s’endorme pour lui dérober son argent !
… « Emile se réveilla au moment où le train se remettait en marche. En fait, il s’était endormi et, pendant son sommeil, il était tombé de la banquette en bois et se retrouvait maintenant par terre, étreint par l’angoisse, son cœur battant comme un marteau piqueur. »…
Si mon livre était un fruit ce serait des groseilles car c’est un fruit très savoureux et surprenant dans son goût . Dans ce livre, chaque future page a envie d’être savourée…on attend la suite…comme quand on a envie de déguster une grappe de groseilles. Ce livre est surprenant dans son style d écriture raconté comme une aventure et comme un roman policier.
J’aurais aimé que cette histoire soit plus longue…
Si mon livre était un objet ce serait une valise car Emile ne fait que voyager avec sa valisette qu’il « trimbale » avec lui du début à la fin de son voyage pour Berlin. Je compare l’histoire aussi à une valise car on ne connaît pas son visage du voleur, hormis le fait qu’il ait un chapeau melon. Une valise, tant que l’on ne l’a pas ouverte, reste aussi secrète et mystérieuse car elle peut contenir des billets comme des vêtements.
Si mon livre était une œuvre d’art ça serait l’homme au chapeau melon, de René Magritte. Le visage de l’homme se cache derrière la colombe, un peu comme quand Emile a connu Monsieur Grendeïs plus connu sous le nom de « l’ homme au chapeau melon ». L’écrivain ne le décrit jamais. Il propose du chocolat à Emile dans le train et une heure après cet homme lui dérobe tous ses deniers. « l’homme au chapeau melon » se montre gentil au tout début mais peu de temps après, il dévoile son caractère de voleur et mal meneur.
…« Près de la fenêtre, un homme avec un chapeau melon sur la tête , était absorbé par la lecture de son journal. Au bout d’un moment, ce dernier le replia, sortit de sa poche une barre de chocolat et la tendit à Emile»…
Si mon livre était une saison ce serait l’Automne car j’imagine tout à fait l’homme au chapeau melon avec une gabardine, un chapeau melon et des gants en cuir arpentant ce train dans une saison assez froide mais pas trop.
Si mon livre était une musique ce serait « Pacific 231 d’Artur Honegger » car le fond de musique retranscrit les bruitages d’un train qui roule. La musique est pleine de suspense comme une enquête qui doit être résolue, et d’angoisse sur laquelle on peut aussi imaginer une course poursuite d’hommes dans ce train qui avance.
UN NOUVEAU TITRE ?
A la poursuite de Man in the bowler hat
Je donne ce nouveau titre à mon livre car Emile et sa bande de copains détectives se mettent à la poursuite du voleur en empruntant différents chemins, essayant d’encercler l’homme au chapeau melon dans la ville de Berlin.
NOUVELLE COUVERTURE
Mon livre en 3 mots
Passionnant, car il y a plusieurs chapitres où l histoire nous fait voyager à Berlin. Il y a beaucoup de suspense et plus je lisais, plus j avais l‘envie que l‘histoire ne se termine pas.
Merveilleux, car la fin de l‘histoire est heureuse, toutes les frustrations de l’histoire sont évaporées. Un des copains d‘Emile noue une relation amoureuse avec * Pony bibi…
Palpitant, car Emile arpente les rues de Berlin, essoufflé et malmené par « l’homme au chapeau melon ». Emile va connaître plusieurs infortunes et, d’aventures en mésaventures il maintient le lecteur en attente avec une certaine angoisse.
Ce livre a un véritable scénario du début à la fin, Emile a peur car il a peint la statue du Grand Duc, il ne peut s’aider de la Police qui risque de le « coincer » et devient un détective malgré lui avec ses amis pour démasquer le voleur et le faire arrêter. Il aura même un article dans le journal sur son exploit.
Définition des mots :
*Berlin : Capitale de l’Allemagne
*ukulele : Instrument à cordes d’origine Hawaienne
*Madame Tischbein : Mère d Emile
*Pony bibi :La cousine d’Emile
Voici le « Emile et les détectives» réalisé en 1931
Voici en lecture un extrait que j’adore car 2 générations sont représentés dans l’extrait et dans le livre 3 générations : 1*La Grand mère 2* la mère, la tante, l’homme au chapeau Melon et 3* Emile et ses amis.
5 ème 1 – Sarah-Lou
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