L’ EAU
Posté par rabelaisblog le 1 mars 2014
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Posté par rabelaisblog le 18 février 2014
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Posté par rabelaisblog le 14 février 2014
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Posté par rabelaisblog le 30 janvier 2014
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Posté par rabelaisblog le 20 janvier 2012
L’enfant et la Rivière d’Henri Bosco est un de mes livres préférés. Contrairement à mes « habitudes de lectures » qui sont généralement des livres de type vampirique ou céleste, ce livre magnifique, où il est question de nature et d’aventures est plein de surprises.
En effet, si ce livre devait être des sentiments, il serait tout d’abord:
-L’émerveillement: Pascalet, un jeune garçon qui vit dans une maison de campagne, avec ses parents et sa tante Martine, rêve d’une rivière; cette rivière dangereuse aux serpents et aux bohémiens. Pascalet n’a cependant pas l’autorisation d’aller près de ces terribles eaux. Un jour, Bargabot, le braconnier des rivières lui rend visite ainsi qu’à sa tante. Ce chasseur leur apporte comme toujours les plus beaux poissons qui soient. Bargabot dit alors à Pascalet : « Petit,petit, tu as une bonne frimousse de pêcheur. As-tu jamais pris du poisson ? » et Pascalet lui répond : « Non, monsieur Bargabot, on me défend d’aller à la rivière ». A partir de ce jour, Pascalet ne dort plus, souvent la nuit, il pense à des coins merveilleux. Il n’est pas déçu. Un mardi matin, il part et arrive près de la rivière sur une île. Le ciel y est bleu vif, les eaux claires et les rives colorées de rose par le jour qui se lève. Pascalet est heureux et émerveillé devant tant de beauté naturelle.
-la peur: Pascalet, alors qu’il explore l’île près de la rivière, voit une barque. Il y monte malgré les dangers; la barque, sous son poids, se fait emporter par les eaux. Pascalet tente de s’accrocher à une branche mais celle-ci se brise. Pascalet dérive et amarre sur une autre île. Il se pense sauvé mais c’est alors qu’il aperçoit une fillette, maigre en haillons :« La petite fille était en haillons. des yeux noirs et une peau bistrée. Quelle étrange créature »; il prit peur et alla se cacher dans des buissons. Ensuite arrivent plusieurs bohémiens avec un enfant ligoté qu’ils ne s’empêchent pas de fouetter pour le faire taire. Pascalet prend son courage à deux mains et risque sa vie pour sauver Gatzo, cet enfant attaché à un poteau. Les deux garçons s’enfuient avec une seule crainte : qu’on les rattrape. Quand ils trouvent une île tranquille, ils s’y installent. Les premiers jours se déroulent à merveille jusqu’à un changement de mouillage impératif à cause d’une bête, qu’ils nomment Racal et qui n’est en fait qu’un âne, celui de Hyacinthe, une jeune fille qu’ils rencontrent sur l’île. Celle-ci leur raconte qu’ils sont recherchés de partout: « On vous cherche dans tous les villages… Tout le monde est au courant ». C’est là, que la peur s’installe véritablement en eux.
Si ce livre était une plante aquatique, ce serait le Nénuphar :
La fleur de cette plante représente les personnages principaux, Pascalet et Gatzo. Etant posée, sur sa feuille, elle symbolise les villages et toutes les terres sur lesquels ont pu vivre les deux garçons. Tous les paysages évoqués dans ce roman sont tous aussi magnifiques les uns que les autres; les paysages sont faits de couleurs, d’animaux étranges mais ceux-ci sont décrits comme des êtres d’une grande beauté. Notamment l’âne Culotte de Hyacinthe qui est « l’âne enchanté du pays ». Le Nénuphar montre aussi la diversité qu’il y a sur ces terres : par exemple, des plantes utriculaires, cératophylles, des poissons comme des perches rayées (15).
Les images de plantes et de poissons viennent du carnet de Pascalet,
ce sont des dessins qu’il a dû faire pendant ou après son aventure.
Si ce livre était une oeuvre, ce serait une peinture d’Henri Rousseau :
« Un tigre dans une tempête tropicale » de 1891.
La scène représentée, ne se déroule pas dans le même pays que l’histoire d’Henri Bosco: « Au printemps, quand les neiges fondent dans les Alpes, d’autres eaux apparaissaient »; il est donc clair, ici, que ce roman se passe dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Cependant, le tigre est un animal puissant, féroce, mais qui est considéré dans certains pays comme un animal sacré, il est vénéré en Chine et il est le maître des montagnes. On peut donc penser que le peintre a voulu représenter un paysage chinois. Le tigre, comme expliqué précédemment symbolise les créatures que Pascalet et Gatzo ont pu rencontrer pendant leur voyage. Le décor autour de cet animal est très mouvementé comme l’indique le titre de cette peinture : « Un tigre dans une tempête tropicale ». Cette oeuvre représente à la fois le calme, qui est rapporté à la sagesse du tigre et le mouvement (les voyages, les rencontres, les découvertes des deux garçons) en rapport avec la tempête.
Ce livre en deux mots :
Surprenant: cet adjectif caractérise parfaitement ce récit, qui est fait de rencontres et de découvertes. Tout d’abord la rencontre de Pascalet avec Gatzo, puis celle avec Hyacinthe permet aux lecteurs de comprendre les réactions et les gestes de ces personnages. Par exemple, lorsque Hyacinthe dit aux deux garçons qu’ils sont recherchés de partout, Gatzo disparaît peu de temps après, laissant seul sur l’île Pascalet : « Je me sentais si seul, j’étais si malheureux, que je ne savais plus que faire ». Ensuite, la découverte que fait Gatzo donne une vraie raison à sa fuite. Gatzo découvre, qu’il est le petit-fils de Monsieur Savinien, un vieil homme qui voyage de village en village à sa recherche. Cette révélation bouleverse Gatzo, qui part avec son grand-père, laissant à nouveau Pascalet seul alors qu’ils viennent, aussi, à peine de se retrouver.
Enfantin : ce livre tourne autour d’une histoire d’enfants : Pascalet, Gatzo, Hyacinthe. Il y a cependant une intervention adulte qui rappelle à l’ordre Pascalet sur ses droits . Tante Martine et ses parents lui répètent régulièrement qu’il ne faut pas aller à la rivière. Le propre de l’enfant étant en général de ne pas obéir; Pascalet n’y échappe pas, il cède à la tentation et part à l’aventure: « Je repartis un mardi matin. Tante Martine dormait encore dans sa chambre. Je profitais de son sommeil pour bourrer de provisions un petit sac. »
Un autre titre pour ce livre et une autre couverture :
« L’aventure »
Le titre « L’aventure » est le nom que m’inspire cette lecture. Le suspense y est intense : quand les deux garçons croient, par exemple, qu’il y a des âmes sur l’île et que le soir, avant de s’endormir, ils guètent pour pouvoir apercevoir ces créatures. L’image de ce chemin forestier illustre parfaitement le déroulement de l’histoire : ce chemin qui commence, là, juste devant nous lorsque l’on débute le livre et qui s’achève après un long et mouvementé voyage.
Adaptation Scénographique :
D’après Henri Bosco, « L’enfant et la rivière », spectacle de Laurent Contamin, tout public dès 7 ans.
Pour en savoir plus : http://www.laurent-contamin.net/page.php?art=28
Adaptation cinématographique:
Maurice Château adapte en 1981, le roman « L’enfant et la rivière » d’Henri Bosco, en téléfilm. On peut retrouver celui-ci sur Ina.fr, ce téléfilm dure environ 1heure (59min.26s)
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CPF86632217/l-enfant-et-la-riviere.fr.html
Biographie d’Henri Bosco
Henri Bosco est né le 16 novembre 1888 à Avignon, d’une famille provençale et piémontaise. Son père, Louis Bosco, fut tailleur de pierre, luthier, puis artiste (ténor de grand talent). La première enfance d’Henri Bosco se déroule dans la Cité des Papes mais dès sa troisième année et jusqu’à 17 ans, son existence fut essentiellement campagnarde. Henri Bosco écrit un premier roman, illustré par ses soins, dès l’âge de sept ans. A seize ans, il se vit attribuer un prix de poésie par une revue suisse. Un écrivain met toujours peu ou prou de lui-même dans ses écrits. Bosco y a mis beaucoup, surtout de son enfance. De ce temps privilégié, il a extrait nombre de ses personnages. Il y a puisé quantité de faits enregistrés par sa mémoire, à la fois fidèle et imaginative. Henri Bosco est mort à Nice en 1976.
Sarah 3°2
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Posté par rabelaisblog le 13 novembre 2011
Un barrage contre le Pacifique
Marguerite Duras
Si ce livre était un chiffre, ce serait le trois. Celui-ci définit Joseph, le frère de Suzanne qui sont tous les deux les enfants de « la mère ». Tous trois sont le centre de ce livre, l’histoire se déroule majoritairement autour de Suzanne, qui occupe des centaines de pages lors de sa rencontre avec un homme : M. Jo. Ce milliardaire, fils d’un grand planteur dans la plaine, est fou amoureux de Suzanne, qui elle ne s’intéresse en aucun cas à lui. Elle le trouve laid et non-intelligent, comme le dit si bien « la mère »: « Il n’y a que la richesse pour faire le bonheur. Il n’y a que des imbéciles qu’elle ne fasse pas le bonheur. Il faut, évidemment, essayer de rester intelligent quand on est riche. » Joseph devient de plus en plus important au cours de l’histoire. A la fin, »la mère » ne reste en vie qu’avec l’espoir de revoir un jour son fils, qui lui est parti à la ville depuis plusieurs mois déjà avec une femme. Joseph n’envoie qu’une seule lettre à sa mère durant tout ce temps, celle-ci désespère encore plus en voyant toutes les fautes d’orthographe que fait son fils .
Si ce livre était un aliment, ce serait le riz. En effet cet aliment simple et complexe à la fois représente parfaitement la vie de Suzanne, cette jeune fille de dix-sept ans, qui a pour « mère » une vieille femme à moitié folle et pour frère, Joseph, âgé de vingt-ans environ. Cette pauvre famille , vivant sur une concession au bord de l’Océan Pacifique, en Indochine Française , n’a que le riz pour seule véritable nourriture . Le narrateur, nous montre bien à travers certaines phrases, ce que symbolise le riz pour cette petite famille :
« du riz de merde, dit Joseph en riant de nouveau,
ce serait mieux que pas de riz du tout… »
ou encore « le caporal* monta, vit le paquet, le regarda longuement puis posa le riz sur la table et commença à mettre le couvert ».
* aide domestique, « la mère » paye très peu cet homme sourd.
Si ce livre était un sens, ce serait la vue. Effectivement, ce récit nous fait ouvrir les yeux sur les difficultés de la vie, comme par exemple l’achat d’une concession incultivable (les terres de l’Indochine Française au bord du Pacifique sont envahies par les eaux chaque année) : il a fallu plus de dix ans à « la mère » pour posséder un terrain et faire construire un bungalow au toit persé et dont le sol fait de planches de bois se défait à mesure du temps . On y voit clairement la pauvreté de cette famille, qui ne peut même plus rembourser ses dettes auprès du cadastre. « La mère » écrit une lettre destinée à Monsieur l’Agent cadastral, cette lettre nous montre son désespoir en faisant allusion au départ de son fils pour la ville :
» Je suis vraiment très pauvre maintenant et – mais comment le sauriez-vous ? – mon fils, dégoûté de tant de misère, va probablement me quitter pour toujours et je ne me sens plus le courage ni le droit de le retenir. »
Si ce livre était une fourniture créative, ce serait des pastels secs. La poudre que produisent ceux-ci lorsque l’un d’entre eux est pressé très légèrement contre le papier, représente la terre, cette terre d’Indochine Française au bord de l’océan Pacifique. Tout au long de sa vie, « la mère » va se battre pour faire pousser du riz ou d’autres plantes sur le terrain de sa concession. Les chasseurs et les paysans du village auront eu beau lui dire qu’il était inutile d’essayer des plantations, « la mère » ne cessait chaque année de replanter encore et encore de quoi nourrir sa petite famille. Elle croyait qu’un jour les eaux du Pacifique arrêteraient d’innonder son terrain, mais celles-ci envahissaient année sur année les deux hectares de plantations. « La mère » se mit même à la construction d’un barrage fait de rondins. Ce fut un échec, les barrages ne résistèrent pas à la pression de l’eau. Les crabes mangèrent les restes. « La mère » ne se remit jamais vraiment de cette période de sa vie car elle avait mis la quasi totalité de ses économies dans la construction de ces barrages. Elle en avait même gagné le respect des villageois de la plaine.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Mangeurs_de_pommes_de_terre
Si ce livre était une oeuvre, ce serait « les mangeurs de pommes de terre« de Van Gogh de 1885. Cette peinture représente une famille, pauvre et fatiguée; tout comme la « mère » :
« elle avait aimé démesurément la vie et c’était son espérance infatigable, incurable, qui en avait fait ce qu’elle était devenue, une désespérée de l’espoir même. Cet espoir l’avait usée, détruite, nudifiée à ce point, que son sommeil qui l’en reposait, même la mort, semblait-il, ne pouvait plus le dépasser. »
Une scène particulièrement violente se déroule lors d’un repas. « La mère » ne fait que se lamenter depuis que tous sont à table: « une saleté de fille comme j’ai là… » dit-elle. « La mère » se met rapidement en colère et frappe sa fille. Elle est persuadée qu’elle a couché avec M.Jo, tels sont ses propres mots : « mais dis-le-moi donc, bon Dieu, et je te laisserai. » Suzanne ne cesse cependant pas de se justifier, elle essaye malgré les coups que lui inflige sa mère de lui prouver qu’elle n’est pas passée à l’acte avec cet homme. Joseph finit par intervenir et envoyer sa mère se coucher; elle est épuisée et choquée par ce qu’elle vient de faire.
Pour aller encore plus loin :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_Duras
Une adaptation cinématographique a été réalisée en 1958 par René Clément avec Silvana Mangano, Anthony Perkins pour la première fois. En 2008, une deuxième adaptation a été réalisée par Rithy Panh : la bande annonce sur Youtube de l’adaptation de 2008: dans cet extrait, la petite famille paraît riche, ce qui ne correspond pas tout à fait au livre, d’après la description que nous en fait Marguerite Duras.
En trois mots
VULGARITE : en effet cette famille retirée de la ville ne parle pas très bien le français, du moins un français non sous tenu : Joseph ne connaît quasiment que le mot « merde », comme dans la citation pour l’assimilation à un aliment : « Merde, tu le sais bien qu’elle a pas couché avec lui, je comprends pas pourquoi tu insistes ».
SALETE: les habitants de la plaine vivent dans la saleté, dans la boue, dans la poussière. Les enfants passent leur temps à jouer dans la terre ou dans l’eau du fleuve: le Rac. Ils sont tous couverts de poux et peu d’entre eux peuvent prendre une douche tous les jours .
FATIGUE: comme je l’ai expliqué précédemment dans l’assimilation à la vue de ce livre, la petite famille est fatiguée, non seulement à cause de « la mère » qui empêche ces enfants de vivre mais à cause des voyages qu’ils font régulièrement à la ville, notamment pour vendre le fameux diamant que M.Jo a offert à Suzanne lors d’une de ses visites au bungalow. « La mère », dès le diamant en sa possession, en a profité pour le vendre. Une fois de plus, elle s’est épuisée à parcourir la ville toute entière à la recherche de diamantaires.
Un autre titre
si je devais changer le titre de ce roman, je l’appellerais :Espoir. En effet, ce livre n’est basé que sur l’espoir. L’espoir de voir enfin une voiture arriver sur la piste devant le bungalow pour chercher Suzanne et l’emmener loin de cette concession misérable. L’espoir de la mère pour la construction des barrages, ou encore l’espoir d’une réponse à ses lettres envoyées au cadastre. Quant à Joseph, lui, attend aussi qu’une femme tombe en panne devant le bungalow pour qu’il puisse réparer sa voiture et ensuite s’échapper avec elle. Mais il sait très bien qu’aucune voiture ne viendra. Mais tous espèrent.
Une autre image pour la première de couverture :
« Espoir »
(source: http://lintz.chez-alice.fr/espoir.JPG)
Cette image représente une bouteille avec message, ce message serait par exemple :
il ne sert à rien d’espérer, ni de rêver, mais il sert d’agir.
Cet objet flottant dans l’eau, qui pourraient être les eaux du Pacifique est la première de couverture idéale selon moi pour ce livre et non l’affiche du film de Rithy Panh, même si les deux ont tout en commun.
Sarah 3°2
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Posté par rabelaisblog le 12 novembre 2011
Si le livre était un animal, ce serait un renard car c’est un animal sauvage qui utilise la ruse pour parvenir à ses fins tout comme Ugolin. Celui-ci cherche l’amitié auprès de Jean de Florette pour gagner sa confiance et mieux le manipuler. Jean de Florette est un percepteur bossu qui hérite d’une maison de campagne suite à la mort de son oncle puis de sa mère. Jean rêve de cultiver sa propre vigne, ses pommes de terre etc … Le problème pour Ugolin est qu’il a besoin de la source qui se trouve dans le domaine de Jean pour faire pousser des oeillets qui lui rapporteraient beaucoup d’argent …
Si le livre était un tableau, ce serait Sainte Victoire de Paul Cézanne car il est le plus grand peintre provençal. Ce tableau montre bien le paysage évoqué dans le livre .
« Les Bastides Blanches, c’était une paroisse de cent cinquante habitants, perchée sur la proue de l’un des derniers contreforts du massif de l’étoile, à deux lieues d’Aubagne … Une route de terre y conduisait par une montée si adrupte que de loin elle paraissait verticale : mais du coté des collines, il n’en sortait qu’un chemin muletier, d’où partaient quelques sentiers qui menaient au ciel. »
Si le livre était un bruit, ce serait
le grondement du tonnerre car il annonce un mauvais présage comme la mort du héros. Jean de Florette a beaucoup de problèmes surtout celui de l’eau, il doit donc faire beaucoup d’aller-retour jusqu’à la source des Plantins qui est à 1 heure de marche. Il fait plus de 4 voyages par jour, cela le fatigue. Tiendra-t-il jusqu’au bout ?
Si le livre était une couleur, ce serait le jaune
car le soleil évoque l’aridité et dans le livre on voit toutes les plantes jaunir par la sécheresse. Dans le monde rural, la météo a une place primordiale. S’ il ne pleut pas, les cultures ne poussent pas et dans le livre on voit bien l’importance de l’eau.
Sans eau on ne peut rien faire.
Si je devais trouver un autre titre pour le livre, ce serait
Le secret de la source
car personne du village des bastides ne révèle l’emplacement de la source. Si quelqu’un avait dit à Jean de Florette l’emplacement de la source, il ne serait certainement pas mort.
EN 3 MOTS
Hypocritie car tout le long du livre tout le village des Batisdes est hypocrite envers Jean de Florette. Les villageois ne lui disent rien de l’emplacement de la source.
L’eau est extrêmement importante dans ce milieu rural. L’eau permet de vivre et de gagner son argent .
Attente,Ugollin et le Papet attendent des années de voir Jean de Florette partir pour qu’ils puissent récupérer la source .
Extrait du film Jean de florette :
http://www.dailymotion.com/video/x5gvhw
Pablo, 3°2
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Posté par lryf le 9 juin 2011
« Parle moi du Gange je te raconterai la Bièvre », voici le nom de l’exposition qui retrace les travaux d’enquête menés par 14 classes de collèges du Val-de-Marne dans le cadre du projet pédagogique du festival de l’Oh! A voir et à découvrir jusqu’au 11 juin dans le parc de la Roseraie à l’Haÿ-les-Roses.
Pour regarder le reportage du Conseil général Val-de-Marne,
cliquez sur le lien suivant :
Exposition de collègiens – Festival de l’Oh! from on Vimeo.
Madame,
Par ce courrier nous tenions à féliciter les élèves de la classe d’accueil pour la qualité de leur intervention le vendredi 20 au Parc de la Roseraie à l’Haÿ les Roses dans le cadre de l’exposition « parle moi du Gange, je te raconterai la Bièvre ». En effet, pour avoir moi-même assuré l’animation ce jour, j’ai été interpelée par leur engagement déjà toute au long de l’année scolaire sur ce projet, mais ce jour là principalement par leur motivation à partager leur savoir, à échanger avec d’autres élèves, par leur investissement durant toute la journée. Ce que nous ne retrouvons pas toujours chez les élèves, des classes dites « classiques ».
Pour les remercier , nous souhaiterions leur offrir la visite d’une exposition d’instruments de musique indienne suivie d’un concert de 20 minutes à l’escale du festival de l’Oh ! de Maisons Alfort. Cette visite est exceptionnelle et nous n’avons que 2 créneaux de disponibles pour les collégiens. Il s’agit du mardi 14 juin et du mercredi 15 juin entre 10 h et 17 h 00. Bien sur nous vous mettons un car à disposition et la visite est gratuite.
Remerciez donc les élèves pour leur sens du partage des savoirs de la part de toute l’équipe du festival de l’Oh !
Bien cordialement
Linda Abbas
Chargée du projet pédagogique
et des contenus environnementaux
festival de l’Oh !
Direction des Services de l’Eau et de l’Assainissement
Conseil général du Val-de-Marne
9400 CRETEIL
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Posté par rabelaisblog le 2 juin 2011
Publié dans ART ET CULTURE, AU FIL DE L'EAU, TOUR DU MONDE | 5 Commentaires »
Posté par rabelaisblog le 2 juin 2011
Un article sur l’expo de la CLA!
Cliquez sur l’image
Articles liés:
FESTIVAL DE L’OH! – INAUGURATION DE L’EXPOSITION
L’EXPOSITION PRESENTEE PAR LA CLA: LE FILM!
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Posté par lryf le 27 mai 2011
La classe de 6e5, invitée à l’exposition de la CLA rend compte de sa sortie sur les pages de Segpanorama
La classe d’Ulis vient également d’ouvrir ses pages et demande au Rablog de l’accueillir. Une nouvelle étiquette ULIS dans la barre horizontale en haut de page permet donc désormais d’aller aisément d’un blog à l’autre.
Publié dans AU FIL DE L'EAU, RABLOG | 2 Commentaires »
Posté par lryf le 22 mai 2011
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