SI TU VEUX ETRE MON AMIE Laurène 5°8

Posté par rabelaisblog le 27 janvier 2012

 

Si tu veux être mon amie

Galit Fink
Mervet Akram Sha’ban

SI TU VEUX ETRE MON AMIE Laurène 5°8 dans LECTURES CURSIVES 9782070617173

Si ce livre était une saison ce serait l’HIVER car en cette période le temps est trite, les arbres n’ont plu de feuilles, il pleut et les nuages sont gris.

J’ai trouvé ce livre triste car au fur et à mesure qu’on lit des personnes décèdent, « la vie est dure à cause de l’Intifada », la geurre entre Israël et la Palestine ne semble pas pouvoir s’arrêter…

Hiver dans LECTURES CURSIVES

Mon livre pourrait être  un SENTIMENT.

En effet, en lisant ce livre on apprécie la façon dont les deux jeunes filles du livre communiquent. Bien que leur deux pays soient en guerre, elles s’écrivent pour décrire leur façon de vivre tout en se respectant profondément. 

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Si ce livre était un vêtement ce serait un PULL EN LAINE. Quand on l’achète il nous va bien mais au fil des lavages, il rétrécit peu à peu.

Au début du livre les deux jeunes filles s’entendent et font tout pour devenir amies. A la fin de l’histoire elles ne sont plus d’accord sur aucun point et refusent finalement d’entretenir leur amitié.

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Si ce livre n’était pas un roman inspiré d’une histoire vraie, ce pourrait être une ENCYCLOPEDIE En effet, il  m’a beaucoup appris : vocabulaire sur la guerre, vie en Israël et en Palestine, déroulement de la guerre elle-même. Ce livre comprend entre chaque lettre des jeunes filles un descriptif des événements qui se déroule dans cette guerre. 

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Si ce livre était une œuvre d’art ce serait LE RADEAU DE LA MEDUSE de Théodore Géricault peint entre 1817 et 1819. Dans ce tableau des hommes se grimpent dessus sans que l’on sache quand ce désordre va s’arrêter. Aux dessus d’eux, le ciel est noir alors que que plus loin il  est clair et sans nuage. Dans Si tu veux être mon amie, l’Intifada fait rage, on ne sait pas quand cette guerre entre la Palestine et Israël va prendre fin. Tout est sombre alors qu’ en s’éloignant des frontières l’atmosphère semble déjà plus calme.

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Une lettre de plus?

Ma chère Galit,

Je suis vraiment désolée de ce qui est arrivé à ton père et heureuse que tu deviennes bientôt tante. Mes parents sont d’accord pour que je vienne te rejoindre à Jérusalem. Je suis toute contente qu’on puisse enfin se voir : j’ai tellement de choses à te raconter, à connaître de toi. Je suis pressée, j’ai hâte de voir comme tu as grandi et mûri…

Par contre, je suis tout de même un peu inquiète… Quand je relis toutes tes lettres j’ai l’impression que tu détestes les Arabes en général à cause du mal que certains font aux tiens. Je profite donc de ce courrier pour te dire que je ne peux excuser ce qu’ils font mais, il faut que tu comprennes qu’ils ont aussi leurs raisons et surtout qu’ il ne faut pas généraliser en rejetant un peuple tout entier.

A samedi,

Mervet

PS : souhaites-tu que j’apporte quelque chose pour le déjeuner ?

 

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NARUTO

Posté par rabelaisblog le 27 janvier 2012

 

NARUTO :Tome 45NARUTO  dans LECTURES CURSIVES dake-poing


Si mon livre était une œuvre d’art, son dessin ressemblerait à un ninja accomplissant une mission au péril de sa vie car le manga Naruto  parle d’un ninja orphelin qui n’a pas de parents ni de famille et il a un démon en lui. Le démon renard à neuf queux. Les habitants le considèrent comme un monstre. Une association appelée Akatsuki cherche à réunir tous les démons à queux pour conquérir le monde. Naruto est alors pousuivi. Un de ses anciens amis  fait partie de cette association, il s’appelle Sasuke Uchiwa. Son clan a été exterminé par son frère alors il veut se venger. Celui ci a appris que c’est la faute des dirigeants de Konoha alors il veut encore une fois se venger en mémoire de son frère qu’il a tué de ses propres mains. Aussi  il rejoint l’ Akatsuki pour détruire Konoha le village natal de Naruto. Mais Naruto ne le laissera pas faire et il deviendra de plus en plus fort grâce à son maitre Fukasaku, vieux crapaud ermite.

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Si mon livre était un mot ce serait le mot  élément, car beaucoup de Ninjas utilisent plusieurs éléments comme l’eau , la terre, le feu, l’air et la foudre. Par exemple dans certains tomes de Naruto, Sasuke utilise le katon (le feu) et la foudre ,raïton ou comme kakashi, l’ ancien maître de Sasuke , il utilise le doton (la terre) et a une technique spéciale. Dans un autre volume, il se sert de fûton (le vent). Naruto a une technique: il combine avec le vent « fûton », le shuriken tourbillonnant et un dernier élément l’eau, c’est a dire suiton.

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Dans Naruto beaucoup de ninjas utilisent des éléments, rares ceux qui arrivent à en utiliser deux. Plus forts encore sont ceux qui combinent leur élément pour en créer un autre comme par exemple le suiton avec le doton ça fait le mokûton (le bois) ou le suiton avec le fûton ça fait le chauton (la glace). Les élément servent beaucoup dans le monde des ninjas.

dake-renardSi mon livre était un animal ce serait un renard car il y a un démon renard à neuf queux dans Naruto. Ce démon avait ravagé Konoha, le village natal de Naruto et de son ancien ami Sasuke; à cause de ce démon, Naruto vit un cauchemar poursuivit par l’ Akatsuki.

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Article lié:

NARUTO par Aimen 4°3 2011

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GARAGE ISIDORE N°1

Posté par rabelaisblog le 26 janvier 2012

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 dans LECTURES CURSIVES

Salade de Bielles

 

 

 

Garage Isidore N°1

Dessinateur :                                                                     Scénariste :

Nom : Longe                                                           Nom : Gilson

Prénom : Olivier                                                      Prénom : François

Pseudo : Olis                                                             Né le 16/11/1965 (en Allemagne)

                  Né le 07/08/1965 (en Belgique)

 

La Bande Dessinée raconte l’histoire d’un garagiste qui vit des aventures plus farfelues les unes que les autres. Ça se passe en centre-ville (là où tout le monde a un véhicule pour se déplacer) sûrement dans une petite ville car de temps en temps le garagiste (Isidore) se déplace en campagne pour dépanner des agriculteurs ou d’autre personnes. J’aime bien cette BD car cela montre la vie des garagistes qui doivent parfois se sortir de gros pétrins et rencontrent aussi des clients parfois très bizarres, c’est une caricature des garagistes et c’est très drôle.

Cette Bande Dessinée date du 26 déc. 1997, elle n’est pas très récente car c’est la toute première de la série et pour une BD 15 ans c’est beaucoup mais elle appartenait à mon père. Dans la série des Garage Isidore, il y a eu 14 autres tomes jusqu’au dernier qui date du 7 janv. 2011, et un Hors-Série. Voilà un site qui les répertorie toutes : http://www.bedetheque.com/serie-1276-BD-Garage-Isidore.html#5594.

Si ma BD était un paysage, ce serait une grande agglomération il y a beaucoup de monde et donc de véhicules et où l’industrie automobile bat son plein. La pollution va avec l’automobile, donc cette grande ville serait polluée tout comme les grandes métropoles japonaises ou américaines. J’ajouterais aussi que le garagiste fait aussi partie de la vie en ville car  sans lui beaucoup de personnes seraient perdues.                                                                                                                                                                  New-York

Si ma BD était une couleur, ce serait le noir c’est la couleur du cambouis, de la graisse mécanique. Mais aussi la couleur des traces de pneus sur le sol du garage qui est perpétuellement noir à cause de tous ces liquides qui une fois répandus sur sol, s’encrassent et attrape toutes les saletés, ce qui finit par devenir noir. Un garage en règle générale n’est pas très propre à part dans une concession. 

                                                                                            Cambouis

Si ma BD était un animal, ce serait le renard car c’est un animal malin et fourbe tout comme les garagistes qui essaient toujours de grossir la facture en trouvant des problèmes là où il n’y en a pas, ça ne s’applique pas à tous les garagistes. Et le garagiste a aussi la faculté de toujours s’en sortir car il est intelligent et trouve des stratagèmes comme quand dans la BD un client veut récupérer sa voiture alors qu’elle n’est pas prête, le garagiste lui raconte ses péripéties ou alors joue la comédie.

                                                                                                                                                                                                Renard

Si ma BD était un objet, ce serait une bielle car c’est dans le titre de la BD : « Salade de bielles » et la bielle est un des objets les plus importants qui constituent le moteur; cette pièce relie deux articulations dans cet ensemble dans le but de transmettre une force. Et le moteur est ce que le garagiste répare le plus souvent.

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Cette BD est comique car on suit notre garagiste dans toutes ses histoires et il y a toujours une touche d’humour. Dans tous les passages il finit toujours par arriver quelque chose qui fait rire. La BD est basée sur l’humour, presque toutes les BD le sont, c’est ce qui les caractérise en majorité. Ex : Astérix ou encore Titeuf.

Elle est intéressante car on perçoit à travers le garagiste la difficulté de certaines tâches et combien parfois des clients peuvent être pénibles. La BD est une caricature des clients aussi. Tout le long de la BD on découvre toute les sortes de clients qui existent depuis le peureux, jusqu’au riche en passant par celui qui répare tout seul sa voiture. On se demande si le garage n’est pas pour l’auteur un prétexte pour une critique sociale.

 Nouveau titre pour cet BD :

Garage Isidore : Gros Problème !

Car tout au long de la BD, le garagiste doit faire fasse à des problèmes de plus en plus gros, à des clients de plus en plus pénibles mais pour nous c’est surtout de plus en plus drôle. C’est pour cela que je l’ai appelé Gros Problème mais j’aurais pu aussi l’appeler Gros Délire !


Antonin 3°2

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LE PAPILLON DES ETOILES

Posté par rabelaisblog le 24 janvier 2012

LE PAPILLON DES ETOILES dans LECTURES CURSIVES Pablo-193x300

 Si mon livre était un animal, ce serait le Phoenix car il renaît de ses cendres. La mort fait partie du cycle de vie du  Phoenix, elle ne l’arrête pas. C’est un éternel recommencement. Comme dans le papillon des étoiles, un groupe d’humains persuadé de l’auto destruction de l’humanité, construit un vaisseau spatial pour chercher une nouvelle terre pour établir une nouvelle humanité .

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[Eya] « Aprés tout c’est peut-être un éternnel recommencement qui a pris sa source il y a trés longtemps et continuera encore. Cela fait peut-être cent Terres dans le passé qu’il y a des Papillons des Etoiles avec des humanités survivantes. Et chaque fois les enfants des survivants oublient d’où ils viennent et se croient sur l’unique Terre ».

[Eya] « Un peu comme cette théorie de la réincarnation dont tu m’as déjà parlé parce que tu l’as lue dans le livre. Mais ce ne serait pas pour une personne mais pour tout le monde. L’humanité se réincarne. Et, à chaque fois, elle oublie et se croit seule sur une planète qu’elle appelle la Terre  » .

 

 

250px-Light_shining2Si mon livre était une couleur, ce serait


la lumière des étoiles, symbole de la lueur d’espoir d’une nouvelle humanité. Dans ce livre, la lumière est le guide car les skypers se repèrent grâce aux étoiles et c’est en même temps l’énergie inépuisable qui permettra d’atteindre « la nouvelle terre »

[Jules Kramer] « La lumière, elle, ne trompe pas. Elle est partout . Elle éclaire. Elle dévoile. Elle réchauffe. La lumière fait pousser les fleurs et les arbres. Elle réveille nos hormones, nourrit notre organisme ».

 » Nous serons sauvés par la lumière. »

  »Mais la lumière ce n’est que de la lumière »

« Non. La lumière c’est tout. Dans le doute, imite les tournesols,cherche d’où vient la lumière et tourne-toi vers elle. » [Jules Kramer]

 

caravelle-nina-2-gd2-300x229Si mon livre était un bateau, ce serait une caravelle. La navette spatiale est fabriquée avec d’immenses voiles qui captent la lumière comme un voilier capte le vent.  Yves choisit la plus grande navigatrice pour piloter son vaisseau mais aussi pour se pardonner de l’avoir rendu handicapé lors d’un accident de voiture. Ce voyage leur permettra de se rapprocher au point de s’aimer.

[Narrateur] « Yeux dans les yeux. Ils se fixèrent longtemps avant d’engager le dialogue. L’inventeur était ému comme au premier jour où il avait entrevu la navigatrice en colère sur le banc de l’accusation. Il avait encore en mémoire ses cris, son doigt pointé vers lui, ses yeux turquoise enflammés, sa crinière rousse qui volait alors qu’elle fustigeait celui qu’elle appelait son “destructeur” ou l’”assassin”. Dehors le vent faisait mugir les grues disposées autour du Papillon des Etoiles et depuis la fenêtre de sa villa il pouvait voir la tour cylindrique et ses gros réacteurs se couvrir peu à peu de poussière beige.
- Servez-moi à boire, lâcha-t-elle enfin. Il s’empressa de lui servir du vin blanc mais elle réclama quelque chose de plus fort. »

J’ai choisi la caravelle la Nina car comme Christophe Colomb part à la découverte du nouveau monde, le papillon des étoiles part à la découverte d’une nouvelle terre.

[Yves Kramer] « Je tiens à vous rappeler, au cas où ce ne serait pas clair pour certains, il n’y a plus de marche arrière possible. Nous mourrons tous ici. Et cela pour permettre à nos descendants de repartir de zéro ailleurs, si tout va bien sur une planète propre et non souillée par l’inconscience des hommes ».

[Yves Kramer] « Au revoir… planète-maman

[Elisabeth]  » Adieu, rectifia la navigatrice.

 

 

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Si mon livre était un mythe, ce serait celui de

l’arche de Noé.

La terre  va disparaître à cause de l’homme . Tout comme Noé, Yves construit une « arche » dans laquelle il y a plusieurs espèces sous forme d’oeufs fécondés, de graines…
Pour repeupler la nouvelle terre, il embarque 144 000 humains qui sont choisis par Yves comme Dieu a choisi Noé et sa famille.
[Narrateur] « La création de la vie s’avérait une affaire complexe. Après avoir lu le chapitre <<Comment faire naître les animaux>>, ils commencèrent à placer les oeufs fécondés d’animaux de l’ancienne Terre dans les couveuses automatiques ».

[Narrateur] « Ils reçurent 1 700 000 candidatures [...] Désormais le quartet était de 144 000 complices ».

Si mon livre était un sentiment, ce serait l’espoir. L’espoir d’Yves de trouver une nouvelle terre lui permet de réussir.

[Yves Kramer] <<Dernier Espoir >>. Parce que, à mon avis, ce projet est bien plus qu’une simple excursion dans les étoiles. C’est peut-être notre dernier espoir … »

[Yves Kramer] « Cette planète était notre berceau mais nous l’avons saccagée. Nous ne pourrons plus jamais la soigner et la retrouver comme avant . Actuellement je crois que le Dernier espoir c’est … la fuite « .

[Yves Kramer]  » Un Nouvel Espoir. Si tout devait échouer maintenant, cela ne changerait rien. Nous avons osé, seuls contre l’avis de tous, nous l’avons fait ! »

280px-Brueghel-tower-of-babel Si mon livre était une oeuvre d’art ce serait

la tour de babel de Bruegel car l’on voit bien l’importance de la tour qui est placée au centre et qui prend presque tout l’espace de la peinture. Comparés à la tour, les hommes sont minuscules et à droite on voit un port qui évoque le voyage, les voiliers comme dans le papillon des étoilse. Je l’ai choisi surtout pour l’histoire qu’elle raconte car après la destruction de la tour de Babel, les hommes ne pourront plus s’entendre et ne pourront plus faire une action commune.

« Dans la plaine de Shinéar, au sud de l’Irak, le roi Nemrod et son peuple avaient entrepris la construction d’une tour qui devait atteindre les cieux. L’unité des hommes, qui parlaient tous la même langue, semblait rendre le projet possible. Pour punir l’orgueil humain, Dieu décide alors de « confondre » les langages. Il crée alors la diversité des langues et disperse les hommes sur la terre, ce qui empêche ces derniers de s’entendre et de poursuivre leur entreprise ».

http://bruelgel.pieter.free.fr/babel.htm

Pour Werber les hommes n’arrivent pas à s’entendre pour sauver la planète qui est menacée d’être détruite.

[Narrateur] « A la question de la représentation de toutes les nations, il répondit que pour lui il n’y avait pas de pays, de nations, de frontière ou de religion mais juste des êtres humains … »

[Gabriel Mac Namarra] « Je ne vous parle pas du respect de vos privilèges acquis empiriquement sur l’exploitation de la peur, de la superstition et de la bêtise. Je ne vous parle pas de vos traditions qui consistent à repéter des comportements inefficaces, nocifs ou dangereux au seul prétexte que vos parents faisaient pareil. »

« Je vous parle du futur de l’humanité, je ne vous parle pas de vos sondages, de votre popularité, de vos électeurs. Je ne vous parle pas de la gestion de vos privilèges et de vos pots-de-vin. Je vous parle de nouveaux horizons. Êtes-vous seulement capables de regarder plus loin que le bout de votre nez ne serait ce qu’une minute ? Sinon pour vous, au moins pour vos enfants ».

« Si vous aimiez vos enfants, si vous aviez un projet pour les générations futures, est-ce que vous souilleriez aussi facilement l’air et l’eau ? pour qu’un jour il puisse y avoir un futur meilleur, il faut l’imaginer aujourd’hui ».

 

Ce livre est composé de trois parties qui seront mes 3 caractérisants :

Le PROJET : Dans la première partie, on voit comment naît l’idée dans la tête de Yves, puis comment il trouve des alliés notamment Gabriel Mac Namarra milliardaire qui financera le projet, Elizabeth qui sera le pilote du vaisseau. Ce projet ne se fait pas sans opposition, il y a 3 sortes d’opposants d’après Gabriel Mac Namarra :

-Ceux qui pensent qu’il faut faire le contraire

-Ceux qui veulent faire la même chose, veulent vous détruire pour vous copier.

-Ceux qui ne font rien, sont hostiles à toute idée originale, vous détruire pour ne rien changer

La RECIDIVE : Dans la deuxième partie, on voit qu’une fois les fondateurs du projet morts, les mêmes erreurs se répètent :

[Narrateur] « Après la guerre la paix. Après la paix à nouveau la guerre. Dans l’intervalle : juste quelques dizaines d’années, le temps d’oublier les méfaits de la guerre et les raisons de la paix ».

« Aprés la paix, la guerre. Aprés la centralisation, la dispersion. Aprés les grandes cités, les villages. Aprés les régimes d’assemblée, les régimes autoritaires. Après le calme, la frénésie. Après l’anarchie, le totalitarisme. Aprés les masascres, les naissances. Après les massacres, les naissances. Après la mode bariolée,  la mode stricte.

La RENAISSANCE : Dans la troisième partie, au bout de 1000 ans de voyages, il ne reste plus que 6 personnes, 5 garçons et 1 fille. La fille  est un des garçons sont choisis pour aller repeupler la nouvelle terre comme Adam et Eve.

[Eya] « Nos ancêtres ont fui leur Terre pour fonder une nouvelle humanité sur une autre Terre. »

[Narrateur] Les 4 dernières lignes du roman :  » Celui qu’elle appelait « Adam » contemplait celle qui se nommait elle-même « Eve » et se répétait la phrase pour s’en convaincre :

 » On ne peut pas éternellement fuir … »

 

Si je devais choisir une nouvelle couverture et un nouveau titre pour le livre ce seraith-4-1626476-1248082885-300x300« Voyage pour un nouveau monde »

car le livre raconte le rêve d’Yves Kramer pour bâtir une nouvelle humanité sur une nouvelle Terre et comment il y parvient.
J’ai choisi comme couverture Neil Armstrong qui marche sur la lune car cela évoque la première étape de la conquête de l’espace qui fait un premier pas sur la lune comme Yves part à la conquête d’une nouvelle terre dans une autre galaxie. « Le grand pas pour l’humanité » dont parlait Neil Armstrong est sûrement la colonisation de nouvelles planètes dans l’avenir.

Le message philosophique de Bernard Werber à travers cette fiction est que selon moi Bernard Werber pense que l’homme est invité sur cette Terre et qu’elle ne lui appartient pas, il ne peut donc pas en disposer comme il veut. Il doit protéger cette planète. S’il ne la protège pas, L’homme devra s’en aller pour l’ailleurs mais si tel est le cas alors il n’a pas compris qu’il devait protéger cette Terre et malheureusement il y’a de fortes chance qu’il y ait un cycle de destructions des « Nouvelles Terres ».

L’homme répète systématiquement les mêmes erreurs.

Bernard Werber écrit ce livre pour que le lecteur comprenne que la survie de l’humanité est liée à la protection de cette Terre et que l’on n’a pas le choix.

 

RECHERCHE SUR BERNARD WERBER :

Bernard Werber, né le 18 septembre 1961 à Toulouse, est un écrivain français de science-fiction connu notamment pour sa trilogie des Fourmis.

Ces oeuvres principales sont :

La trilogie des Fourmis
Le cycle des Anges
Le cycle des Dieux

Il a vendu plus de 15 millions d’exemplaires, il est l’un des écrivains français contemporains le plus lu au monde.

Il a également réalisé un long métrage. Nos amis les Terriens.

Il a fait des études en criminiologie à l’institut de Criminiologie à Toulouse et de journalisme  à l’école Supérieure de Journalisme de Paris, il fut journaliste scientifique pendant une dizaine d’années .

 Pablo 3°2

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RAVAGE

Posté par rabelaisblog le 21 janvier 2012

RAVAGE dans ART ET CULTURE titre-ravage2-300x88

titre-ravage3-300x218 Ravage Barjavel dans LECTURES CURSIVES

a dans RECITS

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Si mon livre était un animal ce serait le rat car il vit aussi bien dans la
ville que dans la campagne. Et dans cette histoire on peut remarquer que
François et blanche viennent de la campagne et arrivent à Paris. Après
l’immense incendie François décide de revenir quelques centaines d’années en
arrière, il interdit tout progrès.

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Si mon livre était une couleur, ce serait le jaune qui symbolise l’électricité.
Dans la première partie du livre, on peut voir que le monde tourne autour de
l’électricité.

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Si mon livre était une partie du corps ce serait la main. René Barjavel
veut montrer que sans les mains, l’homme de cette époque est incapable de
vivre. Il doit être assisté en permanence par des machines. François met en
place une communauté qui vit sans progrès et qui fait toutes les tâches à
l’ancienne.

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Si mon livre était un paysage ce serait la photo d’une ville(photo 1) pour
montrer une ville très moderne et développée et une autre (photo 2) à la
campagne pour représenter des paysans labourant la terre comme on le faisait
bien au auparavant.

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Si mon livre était… Ce serait ravage car c’est le titre du livre. En effet
dans l’histoire il y a une coupure d’électricité générale sur toute la planète
ce qui  ramène à des centaines d’années en arrière et ce qui entraîne par la suite
un énorme incendie qui « ravage » tout sur son passage.

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Si mon livre était une œuvre d’art ce serait
les coquelicots de Claude
Monet.
J’ai choisi cette œuvre d’art car elle représente la campagne, la

nature, la sérénité sans aucune pollution.

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Ce roman a été écrit durant la guerre de 1939 à 1945. D’ailleurs on peut y
retrouver le feu les pillages et les maladies.

Je vous le conseille, il est vraiment très bien et se lit vite.      

  

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                                                                                                                                                                                                    http://www.cineclubdecaen.com/peinture/peintres/monet/coquelicots.htm

http://jenl.pagesperso-orange.fr/oeuvres/1870-79/1873coquelicot_argenteuil.html

http://www.megapsy.com/Louvre/pages/091.htm

http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/peinture/commentaire_id/coquelicots-8836.html?tx_commentaire_pi1%5BpidLi%5D=509&tx_commentaire_pi1%5Bfrom%5D=841&cHash=2a678dd817

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N’oubliez pas que vous pouvez cliquer sur les mots et sur les photos

Angélique, 3°2

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L’ENFANT ET LA RIVIERE

Posté par rabelaisblog le 20 janvier 2012

L'ENFANT ET LA RIVIERE  dans AU FIL DE L'EAU jsqIDCi1

L’enfant et la Rivière d’Henri Bosco est un de mes livres préférés. Contrairement à mes « habitudes de lectures » qui sont généralement des livres de type vampirique ou céleste, ce livre magnifique, où il est question de nature et d’aventures est plein de surprises.

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En effet, si ce livre devait être des sentiments, il serait tout d’abord:

-L’émerveillement: Pascalet, un jeune garçon qui vit dans une maison de campagne, avec ses parents et sa tante Martine, rêve d’une rivière; cette rivière dangereuse aux serpents et aux bohémiens. Pascalet n’a cependant pas l’autorisation d’aller près de ces terribles eaux. Un jour, Bargabot, le braconnier des rivières lui rend visite ainsi qu’à sa tante. Ce chasseur leur apporte comme toujours les plus beaux poissons qui soient. Bargabot dit alors à Pascalet : « Petit,petit, tu as une bonne frimousse de pêcheur. As-tu jamais pris du poisson ? » et Pascalet lui répond : « Non, monsieur Bargabot, on me défend d’aller à la rivière ».  A partir de ce jour, Pascalet ne dort plus, souvent la nuit, il pense à des coins merveilleux. Il n’est pas déçu. Un mardi matin, il part et arrive près de la rivière sur une île. Le ciel y est bleu vif, les eaux claires et les rives colorées de rose par le jour qui se lève. Pascalet est heureux et émerveillé devant tant de beauté naturelle.

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-la peur: Pascalet, alors qu’il explore l’île près de la rivière, voit une barque. Il y monte malgré les dangers; la barque, sous son poids, se fait emporter par les eaux. Pascalet tente de s’accrocher à une branche mais celle-ci se brise. Pascalet dérive et amarre sur une autre île. Il se pense sauvé mais c’est alors qu’il aperçoit une fillette, maigre en haillons :« La petite fille était en haillons. des yeux noirs et une peau bistrée. Quelle étrange créature »; il prit peur et alla se cacher dans des buissons. Ensuite arrivent plusieurs bohémiens avec un enfant ligoté qu’ils ne s’empêchent pas de fouetter pour le faire taire. Pascalet prend son courage à deux mains et risque sa vie pour sauver Gatzo, cet enfant attaché à un poteau. Les deux garçons s’enfuient avec une seule crainte : qu’on les rattrape. Quand ils trouvent une île tranquille, ils s’y installent. Les premiers jours se déroulent à merveille jusqu’à un changement de mouillage impératif à cause d’une bête, qu’ils nomment Racal et qui n’est en fait qu’un âne, celui de Hyacinthe, une jeune fille qu’ils rencontrent sur l’île.  Celle-ci leur raconte qu’ils sont recherchés de partout: « On vous cherche dans tous les villages… Tout le monde est au courant ». C’est là, que la peur s’installe véritablement en eux.

 

Si ce livre était une plante aquatique, ce serait le Nénuphar :

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 La fleur de cette plante représente les personnages principaux, Pascalet et Gatzo. Etant posée, sur sa feuille, elle symbolise les villages et toutes les terres sur lesquels ont pu vivre les deux garçons. Tous les paysages évoqués dans ce roman sont tous aussi magnifiques les uns que les autres; les paysages sont faits de couleurs, d’animaux étranges mais ceux-ci sont décrits comme des êtres d’une grande beauté. Notamment l’âne Culotte de Hyacinthe qui est « l’âne enchanté du pays ». Le Nénuphar montre aussi la diversité qu’il y a sur ces terres : par exemple, des plantes utriculaires, cératophylles, des poissons comme des perches rayées (15).

 

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Les images de plantes et de poissons viennent du carnet de Pascalet,
ce sont des dessins qu’il a dû faire pendant ou après
son aventure.

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Si ce livre était une oeuvre, ce serait une peinture d’Henri Rousseau :

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 « Un tigre dans une tempête tropicale » de 1891.

La scène représentée, ne se déroule pas dans le même pays que l’histoire d’Henri Bosco: « Au printemps, quand les neiges fondent dans les Alpes, d’autres eaux apparaissaient »; il est donc clair, ici, que ce roman se passe dans les Alpes-de-Haute-Provence.

 Cependant, le tigre est un animal puissant, féroce, mais qui est considéré dans certains pays comme un animal sacré, il est vénéré en Chine et il est le maître des montagnes. On peut donc penser que le peintre a voulu représenter un paysage chinois. Le tigre, comme expliqué précédemment symbolise les créatures que Pascalet et Gatzo ont pu rencontrer pendant leur voyage. Le décor autour de cet animal est très mouvementé comme l’indique le titre de cette peinture : « Un tigre dans une tempête tropicale ». Cette oeuvre représente à la fois le calme, qui est rapporté à la sagesse du tigre et le mouvement (les voyages, les rencontres, les découvertes des deux garçons) en rapport avec la tempête.

 

Ce livre en deux mots :PictoFleur

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Surprenant: cet adjectif caractérise parfaitement ce récit, qui est fait de rencontres et de découvertes. Tout d’abord la rencontre de Pascalet avec Gatzo, puis celle avec Hyacinthe permet aux lecteurs de comprendre les réactions et les gestes de ces personnages. Par exemple, lorsque Hyacinthe dit aux deux garçons qu’ils sont recherchés de partout, Gatzo disparaît peu de temps après, laissant seul sur l’île Pascalet : « Je me sentais si seul, j’étais si malheureux, que je ne savais plus que faire ». Ensuite, la découverte que fait Gatzo donne une vraie raison à sa fuite. Gatzo découvre, qu’il est le petit-fils de Monsieur Savinien, un vieil homme qui voyage de village en village à sa recherche. Cette révélation bouleverse Gatzo, qui part avec son grand-père, laissant à nouveau Pascalet seul alors qu’ils viennent, aussi, à peine de se retrouver.

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Enfantin : ce livre tourne autour d’une histoire d’enfants : Pascalet, Gatzo, Hyacinthe. Il y a cependant une intervention adulte qui rappelle à l’ordre Pascalet sur ses droits . Tante Martine et ses parents lui répètent régulièrement qu’il ne faut pas aller à la rivière. Le propre de l’enfant étant en général de ne pas obéir; Pascalet n’y échappe pas, il cède à la tentation et part à l’aventure: « Je repartis un mardi matin. Tante Martine dormait encore dans sa chambre. Je profitais de son sommeil pour bourrer de provisions un petit sac. »

 

 Un autre titre pour ce livre et une autre couverture :

« L’aventure »

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Le titre « L’aventure » est le nom que m’inspire cette lecture. Le suspense y est intense : quand les deux garçons croient, par exemple, qu’il y a des âmes sur l’île et que le soir, avant de s’endormir, ils guètent pour pouvoir apercevoir ces créatures. L’image de ce chemin forestier illustre parfaitement le déroulement de l’histoire : ce chemin qui commence, là, juste devant nous lorsque l’on débute le livre et qui s’achève après un long et mouvementé voyage.

 

Adaptation Scénographique :

D’après Henri Bosco, « L’enfant et la rivière », spectacle de Laurent Contamin, tout public dès 7 ans.

Pour en savoir plus :  http://www.laurent-contamin.net/page.php?art=28

 

 Adaptation cinématographique:

Maurice Château adapte en 1981, le roman « L’enfant et la rivière » d’Henri Bosco, en téléfilm. On peut retrouver celui-ci sur Ina.fr, ce téléfilm dure environ 1heure (59min.26s)

http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CPF86632217/l-enfant-et-la-riviere.fr.html

 

Biographie d’Henri Bosco 

Henri Bosco est né le 16 novembre 1888 à Avignon, d’une famille provençale et piémontaise. Son père, Louis Bosco, fut tailleur de pierre, luthier, puis artiste (ténor de grand talent). La première enfance d’Henri Bosco se déroule dans la Cité des Papes mais dès sa troisième année et jusqu’à 17 ans, son existence fut essentiellement campagnarde. Henri Bosco écrit un premier roman, illustré par ses soins, dès l’âge de sept ans. A seize ans, il se vit attribuer un prix de poésie par une revue suisse. Un écrivain met toujours peu ou prou de lui-même dans ses écrits. Bosco y a mis beaucoup, surtout de son enfance. De ce temps privilégié, il a extrait nombre de ses personnages. Il y a puisé quantité de faits enregistrés par sa mémoire, à la fois fidèle et imaginative. Henri Bosco est mort à Nice en 1976.

Pour un biographie complète : http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Bosco

 

Sarah 3°2

 

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AMIES SANS FRONTIÈRES

Posté par rabelaisblog le 18 janvier 2012

Amies sans frontières

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Amies inconnues

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de Hélène Montarde


C’est l’histoire d’une jeune fille, Laure, qui habite en France. Son oncle Robert va lui proposer d’avoir une correspondante thaïlandaise: Moodame. Au début elle va hésiter mais va finalement accepter poussée par ses amies. Elles vont devenir de bonnes amies même si elles ne se sont jamais rencontrées. Laure va tomber amoureuse de Matthieu et ils vont sortir ensemble. Mais Moodame va disparaître et Laure et Matthieu vont s’oublier. 


Si mon livre était un animal, il serait un pigeon, notamment un pigeon voyageur. Le pigeon est un oiseau volant librement dans les airs; il devient voyageur en transmettant des messages d’un lieu à un autre. Laura et Moodame correspondent en s’envoyant des lettres sans pour autant s’être rencontrées. Mais un jour, Laura ne reçoit plus de lettres de Moodame ( » Début juin et toujours rien de toi ») car celle-ci s’est fait kidnapper: on lui a volé sa liberté.

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Un sentiment général de peur s’échappe de ce livre. Malgré l’état de gaieté entre les deux amies, Laure a un profond sentiment d’inquiétude vis-à-vis  de Moodame: elle apprend que des enfants se font enlever («  Trois enfants ont disparu. » ) et elle a peur que Moodame disparaisse à son tour. Son oncle Robert, médecin dans une association en thailande, craint pour l’amie de sa nièce. Mais Moodame ignore que cela peut lui arriver.

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L’objet qui peut ressortir de ce livre, est un objet de lien comme une ficelle. En effet, la ficelle permet de relier deux objets entre eux: un lien d’amitié s’est établi entre Laure et Modame malgré la distance qui les sépare.

Elles deviendront complices l’une de l’autre en s’échangeant des courriers sans pour autant s’être vues:

« la vie ne tient qu’à un fil. »

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Le printemps est la saison qui s’exprime le mieux dans cette histoire. Au fil du livre, la connaissance de l’une et de l’autre est comparable à un bourgeon au printemps: Laure a du mal à accepter qu’une fille de son âge ne vive pas les mêmes choses qu’elle. Moodame n’a pas la télé; elle est obligée de s’occuper de ses frères et soeurs et elle travaille aux champs.

Finalement, elle va accepter cette différence de vie qui va créer entre elles un fort lien d’amitié. Le bourgeon s’est crée avec le froid de l’hiver une carapace qui va exploser au premier rayon du soleil laissant  échapper une fleur.

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Si mon livre était un aliment il serait plutôt un plat: un soufflé au fromage représente bien la liaison amoureuse entre Laure et Matthieu. Au début tout est beau ils passent beaucoup de temps ensemble: le soufflé est gonflé au maximum.

Malheureusement,  » notre histoire s’est arrêtée le jour ou j’ai acheté ce journal »: le soufflé se dégonfle, rien ne sera plus comme avant entre eux.

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Lettre  de remerciements

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Le 28 mars 2011

Chère Hélène Montarde,

Je vous remercie de m’avoir attribué  ce rôle. Il m’a appris beaucoup de choses sur la vie, notamment sur la situation de certaines personnes qui habitent dans un petit village isolé de tout, avec un mode de vie différent du nôtre, on peut y être heureux. Vous m’avez aussi appris qu’il y a d’autres gens au delà de notre frontière qui ont une vie beaucoup plus compliquée que la nôtre mais qui ne se plaignent pas et qui vivent ainsi.

J’espère que beaucoup de gens liront votre histoire elle est très émouvante, touchante, instructive…

Grâce à votre histoire mon regard sur les gens a changé, je fais plus attention aux autres, je n’ai pas envie de les perdre comme Moodame, mon amie. 

Merci beaucoup.

Laure


Amélie, 5°8

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HUNGER GAMES tome 1

Posté par rabelaisblog le 18 janvier 2012

Hunger Games

Tome 1 par Suzanne Collins

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Katniss EverdeenDans un futur sombre, aux Etats- Unis,  règne un jeu télévisé appelé : les Hunger Games. Le concept de ce jeu étant de sélectionner  12 filles et 12 garçons entre 11 et  18 ans ( appelés des tributs ) de chaque district et de les mettre  dans une arène ultra sophistiquée contrôlée par des juges et de les voir s’ entre tuer jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un. Le gagnant obtient la gloire, l’argent et la charge de former les tributs de l’année d’après.Tout le pays est dans l’obligation de regarder ce jeu barbare, sous peine de représailles. Le Gouvernement tient à tenir son peuple en laisse. Lors du tirage au sort des 2 tributs du district 12 des 74ème Hunger games, Katniss Everdeen (orpheline de père) âgée de 16 ans voit sa petite soeur de 11 ans appelée ; elle n’hésite pas une seconde et prend sa place. Le tribut garçon se nomme Peeta Mellark et a un certain lien avec la jeune fille. Pour Katniss , survivre est comme une seconde nature, mais les Hunger games pourraient bien la plonger dans ses derniers retranchements …. Quelles tactiques va-t-elle prendre ? Quels sacrifices fera-t-elle? Qui d’elle ou de Peeta survivra? La révolution serait elle proche ?…Malgré elle, Katniss deviendra le symbole d’une révolution naissante, elle se fera par la suite appelée : le Geai moqueur. 

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Cette comparaison est due au statut qu’avaient les geais moqueurs , dans le passé ils servaient à transmettre des messages (de part leur capacité à retenir et répéter les choses) entre les résistants.     

   

           

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L’arène représente un mystère dans toute la première partie du livre. L’auteur met un point d’honneur à garder secret l’univers de l’arène, c’est ce qui ajoute du suspense et de l’angoisse.  Une plage, un désert, de la glace, …  C’est un mystère entier.                 


Si ce livre était une couleur il serait rouge braise. 9436931-braises-300x200Les emblèmes du district (12) de Katniss et Peeta étant les mines, le charbon  et donc  le feu,  lors de la cérémonie d’ouverture les 2 tributs portent un costume noir luisant et qui, au moment opportun, s’enflamme d’un feu synthétique . Extrait :  » Quelques heures plus tard, je me trouve dans le costume le plus sensationnel ou le plus fatal de la cérémonie d’ouverture. C’est une combinaison noire moulante qui va du cou à la cheville. J’ai aussi des bottes en cuir à lacets qui montent jusqu’au genou. Mais c’est la cape faite de lanière oranges, jaunes et rouges, et la coiffe assortie qui font tout l’intérêt de ce costume. Cinna prévoit de les enflammer juste avant que notre chariot entre dans la rue. »

Ce livre éveille un sentiment de rage et de désespoir. Cette rage de vivre qu’éprouvent Katniss et Peeta, les sacrifices qu’ils font l’un et l’autre peuvent être interprétés  comme un signe  d’abandon et de désespoir mais en fait  leurs actes ne font que refléter leur rage de vivre et l’envie de se battre jusqu’au bout pour maintenir l’autre en vie même si leur relation est tout sauf simple …  

Pour certains  livres que j’ai lus, j’y ai associé une chanson . C’est un lien qui se crée seul et qui me fait ressentir toutes les émotions ou détails qui alors se cachaient dans le livre. Pour Hunger Games la chanson qui correspond à mon ressenti est Decode de Paramore. Cette chanson est la BO du film Twilight mais pour moi elle correspond mieux à l’histoire d’Hunger Games.  

          Image de prévisualisation YouTube

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Si ce livre était un paysage ce serait sans doute une forêt dense où l’on se perd et reperd mais où le danger n’est jamais loin , dans l’intensité du vert des arbres, dans le silence et la vie de ce monde qu’ aujourd’hui nous enfants de la ville avons tendance à oublier. Ce paysage convient à cette histoire car l’intensité et  l’incertitude  que ressent Katniss se reflète dans son environnement et dans ce cas dans la forêt.

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Ce livre a été adapté en film qui sortira le 21 mars 2012.

Plus d’infos sur http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=145083.html .

En voici la bande annonce   Image de prévisualisation YouTube

 smileys-lisant-livre-imgCe livre porte un fort message philosophique,

sur le pouvoir et le contrôle que les hommes ont sur leur vie ou celle des autres.  Le Capitole contrôle les moindre faits et gestes de la population, tout écart est violemment réprimé. Si vous faites quelque chose d’illégal  ce n’est pas vous qui serez puni, mais vos proches, votre famille, vos amis … C’est une dictature qui persiste depuis des années et Le Capitole a d’ailleurs  créé les Hunger Games après la dernière révolution (qui a entrainé la destruction du district 13) pour éviter tout nouveau soulèvement. Katniss, qui ne pensait qu’à protéger sa sœur, est plongée dans 2 mondes différents: celui de la survie auquel elle est habituée , et  celui des sentiments. Ce dernier lui était en quelque sorte étranger depuis la mort de son père , mais les 2 mondes  mélangés pourraient bien être sa seule chance de vivre. Voila qui démontre bien le genre de sociétés, qui malheureusement, existent de nos jours, où la liberté est une chose pour laquelle on doit se battre. On ne naît pas avec . 

Elodie, 3°2

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L’INCROYABLE ÉPOPÉE D’ULYSSE

Posté par rabelaisblog le 17 janvier 2012

 par Hugo 5°8

L'INCROYABLE ÉPOPÉE D'ULYSSE dans LECTURES CURSIVES hugo-ulysse

Si mon livre était une œuvre d’art, ce serait le Radeau de la Méduse car dans cette œuvre je vois un radeau échoué sur une mer déchaînée sur laquelle il y a des cadavres. Le ciel est sombre. Dans Ulysse et l’ Odyssée les hommes se font tuer, les bateaux chavirent et échouent sur des terres inconnues à cause des mauvaises conditions causées par Poséidon:

« … La mer immense et la houle qui roule les bateaux… La mer vide et inhumaine, lisse, transparente comme un miroir, et que nous traversons sans nous en apercevoir, franchissant ainsi l’étroit passage menant à l’autre monde… »

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Si mon livre était une saison, ce serait l’automne car il y a du vent, il pleut… Ce sont des conditions difficiles comme c’est souvent le cas lorsque Ulysse et ses compagnons sont en mer. « Les navires filent bon train, quand soudain le vent se lève. Aussitôt, j’avertis les hommes d’équipage:Affalez les voiles!!! »

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Si mon livre était un mot, ce serait force car tout au long de l’Odyssée, Ulysse utilise sa force physique pour affronter ses adversaires et les difficultés climatiques. Il fait preuve également d’une force mentale pour vouloir retrouver sa femme, Pénélope, et son fils, Télémaque.

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Si mon livre était un accessoire, ce serait des chaussures car elles protègent les pieds comme Ulysse protège sa famille. Les chaussures supportent la pluie, la boue… Ulysse supporte la colère de Poséidon (les vagues, le vent…)

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Si mon livre était un paysage, ce serait une île mystérieuse, hostile et déserte comme celle que découvre Ulysse à chaque escale… « Dès que les manœuvres sont terminées, je grimpe sur une falaise. Aucun champ cultivé ni jardin, pas de fumée, non plus, qui aurait indiqué des maisons habitées. Où avons nous accosté ? »   

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Monsieur Homère,

Merci Homère de m’avoir permis de faire face aux difficultés causées par Poséidon et qui m’ont rendu plus fort. Merci aussi de m’avoir fait rencontrer le bon coeur d’Athéna. Mais vous auriez pu éviter de me mettre face aux deux monstres des mers, Charybde et Scylla, qui m’ont fait une peur bleue ! J’ai bien aimé la fin de mon histoire car je retrouve mon fils et ma femme grâce à tous les efforts que j’ai fournis pour y arriver, merci encore Homère d’avoir fait de moi le plus grand des héros.

Ulysse

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L’ÉTRANGE CAS DU DR.JEKILL ET DE MR. HYDE

Posté par rabelaisblog le 16 janvier 2012

                            L’étrange cas du Dr.Jekyll et de M.Hyde

Robert Louis Stevenson

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Robert Louis Stevenson est l’un des maîtres incontestés des romans d’aventures et de suspense. Il a écrit notamment L’île au trésor, et Jekyll et Hyde. Pour avoir la description complète de Louis Stevenson, cliquez sur mon lien, ci dessus.

Le livre débute par la surprise d’un notaire nommé Utterson. En effet, il reçoit le testament du docteur Jekyll, un homme très droit, franc et loyal, en faveur de Hyde, un homme mystérieux, capable des pires crimes. Selon le testament,  Jekyll donnera tous ses biens à Hyde s’il disparaît dans un délai de trois mois. Mais comment un homme  honnête comme Jekyll a pu signer son testament en faveur de Hyde, cet homme si cruel ?Aidé de son ami Enfield avec qui il discute presque tous les matins, Utterson va essayer de trouver le mystère qui lie Jekyll et Hyde...

  Lire la suite… »

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LE TEMPS DES MIRACLES par Julianna

Posté par rabelaisblog le 13 janvier 2012

Le temps des miracles 

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Anne-Laure Bondoux

Résumé : Le narrateur de cette histoire, qui est aussi le personnage principal, se nomme Koumaïl. Il nous raconte que quelques années plus tôt, il vivait dans le Caucase avec Gloria Bohème, sa mère d’adoption (qui le surnommait parfois Blaise Fortune). Apparemment, celle-ci l’aurait trouvé lors de l’accident d’un train, dans les bras de sa véritable mère, qui était française. Cette française n’ayant pas survécu, Gloria aurait pris en charge le nouveau-né qu’il était alors. C’est pourquoi, lorsque la guerre éclate dans le Caucase, Koumaïl et Gloria tentent de rejoindre la France.

Si mon livre était une couleur, ce serait le BLEU car pour moi, cette couleur représente l’espoir, la liberté de vivre. La pureté de cette couleur évoque également l’enfance. J’ai choisi cette couleur car dès l’enfance, Koumaïl doit vivre des moments difficiles : il est contraint à rejoindre la France à cause de la guerre. Malgré tout, Gloria réussit à l’empêcher de sombrer dans le désespoir en lui racontant des histoires et en lui apprenant les rares phrases françaises qu’elle connait : « Ossecourédémoi ! ».

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Si mon livre était une qualité, ce serait la générosité : Un jour, Gloria emmène Koumaïl à « son travail» :

« Travailler consiste à s’asseoir […] et à tendre la main vers les clients qui entrent ou sortent avec leurs courses. […] J’essaie de deviner, à l’allure de chaque personne, celle qui s’arrêtera pour nous glisser une pièce ».

A la fin de la « journée de travail », Gloria et Koumaïl partent faire des courses avec l’argent gagné. Gloria donne à Koumaïl une pièce de monnaie qu’il lui reste. En sortant du magasin, celui-ci remarque d’autres mendiants. Il donne alors à l’un d’eux sa petite pièce.

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Si mon livre était une saison, ce serait le printemps, car le printemps revient toujours après l’hiver, qui est la saison la plus difficile de l’année. Cette saison fait renaître les plantes. De même, malgré les tristesses et les difficultés, la joie revient toujours dans la vie de Koumaïl. Cette joie fait renaître l’espoir.

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 Si mon livre était un instrument de musique, ce serait un violon car Gloria en possède un qui lui a été offert par son frère. Ce violon n’a plus de cordes mais Koumaïl trouve un moyen de le réparer au cours de son trajet. Finalement, il l’offre à des tsiganes rencontrés en chemin, pour les remercier de s’être occupé de lui et de Gloria.

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 Si mon livre était une œuvre d’art, ce serait « port de mer au soleil couchant » de Claude Gellée dit Le Lorrain. Comme on peut le voir, ce tableau représente un port. C’est pourquoi ce tableau me rappelle le moment où Gloria et Koumaïl décident de se rendre en France en bateau. Malheureusement, ils seront obligés de s’enfuir précipitamment car une bombe explose près du port de Soukhoumi.

Le trajet effectué par Koumaïl jusqu’en France :

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On voit ci-dessus les pays traversés par Koumaïl et Gloria. Ils partent de Géorgie (n°1) pour se rendre en France (n°8) ; mais seul Koumaïl arrivera à destination : en effet, Gloria et lui seront séparés en Allemagne.

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 Persévérance : Malgré toutes les difficultés, Gloria et Koumaïl s’obstinent à rejoindre la France. Ils n’abandonnent jamais. 

Malchance : « Dans la vie, rien ne se passe comme on le voudrait, voilà la pure vérité. On voudrait aimer quelqu’un pour toujours, et il faut se quitter. On voudrait la paix, et c’est l’émeute. On voudrait prendre un bateau, et il faut grimper dans un camion ».

Solidarité : Gloria et Koumaïl ont toujours été aidés par des personnes croisées sur leur chemin.

Liens utiles

Site du livre

Site officiel de l’auteur

Infos sur la guerre du Caucase

par Juliana 3°2

 

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Prix Clara 2011: CANIS LUPUS

Posté par rabelaisblog le 7 janvier 2012

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Le prix Clara est a été créé en 2006 en mémoire de Clara, une jeune fille décédée à l’âge de treize ans des suites d’une malformation cardiaque de naissance, indécelable. Clara aimait lire et écrire, c’est pour cela que ce prix d’écriture rassemble chaque année des nouvelles écrites exclusivement par des adolescents (le concours est réservé au moins de 18 ans). Le prix est décerné par un jury présidé par Erik Orsenna et composé de douze autres personnalités littéraires.

Les textes promus sont rassemblés dans ce recueil. Les bénéfices de la vente du livre sont versés à l’Association pour la recherche en cardiologie de l’hôpital Necker-Enfants malades.

Je vais vous présenter une des nouvelles de ce livre : Canis Lupus.

 

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Un animal : un loup

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L’animal qui correspond le mieux à cette nouvelle  est le loup.  En effet, l’histoire se passe au milieu d’une meute de loups, tous les personnages ainsi que le narrateur nommé « Basalte » sont des loups. L’auteure personnifie les loups en leur attribuant des sentiments humains  afin de nous montrer la vie que mènent ces animaux. Elle leur donne la parole et ils communiquent entre eux avec notre langage.

 

Un arbre : Un saule pleureur

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Si cette nouvelle était un arbre, ce serait un saule pleureur. En effet, à plusieurs reprises dans l’histoire, le saule est évoqué. Il est une sorte d’aire de jeux pour les louveteaux, qui aiment attraper les branches et tirer dessus ou bien les mâchonner. Le saule étant en bordure de rivière, ils aiment également patauger dans l’eau. C’est aussi un lieu de repos car les loups dans le récit aiment s’allonger sous les longues branches de cet arbre.

Contrairement à son nom, le saule pleureur n’est donc pas un arbre « triste » pour les loups, mais est synonyme de joie.

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Un paysage : Un feu de forêt

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Une forêt en feu est le paysage qui correspond le mieux à cette histoire. Tous les loups redoutent le feu de forêt car cela les oblige à quitter leur territoire pour se réfugier ailleurs et ils sont souvent séparés de la meute. Les louveteaux, moins vigoureux meurent souvent lors de ce genre de catastrophe. Lorsque cet évènement arrive dans le récit, la vie des loups change. Le narrateur et son amie  Eclipse  ainsi que le père de cette dernière perdent le troupeau. Lorsqu’ils le retrouvent, le chef de la meute,  Canine, est mort et le loup qui devient le nouveau maître « Vive-Serre » se révèle mauvais commandant, il blesse les femelles et les enfants qui refusent de se soumettre à son autorité nouvelle, mal gagnée puisqu’on apprend  qu’il a expressément tué l’ancien chef.

Ce feu de forêt est donc un moment important car il modifie le cours de la vie de chacune des bêtes. C’est l’élément déclencheur de toute la suite des péripéties.

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Une saison : LHiver

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Si Canis Lupus était une saison, ce serait l’hiver. Après l’incendie, les loups de la meute se retrouvent séparés, pendant les jours qui suivent le feu, ils cherchent à se retrouver. Tout au long de leur périple, l’hiver s’installe. Les loups découvrent les joies des roulades dans la neige et la fraîcheur de leurs pattes, meurtries par le voyage, sur la glace.

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Une Qualité : Le courage

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Le courage est une qualité qui définit bien ce texte car après que « Vive-Serre » se soit autoproclamé chef, il s’attaque au père d’ Eclipse  qui envisage de lui  retirer son titre. Ce dernier est gravement blessé après le combat.

Basalte, pour sauver la meute fait preuve d’une énorme preuve de courage inspiré par sa rage nouvelle car il décide à son tour d’attaquer le cruel loup alors qu’il est moins fort, plus jeune et moins expérimenté que ce dernier.

Pourtant  le vaillant loup gagne tout de même le  combat et malgré son manque d’expérience devient le chef, aimé et respecté de tous. Il a donc pris un risque dangereux mais qui s’est révélé être utile.

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Un film :  « Survivre avec les loups » de Véra Belmont

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Si ce récit était un film ce serait l’œuvre cinématographique de Véra Belmont : Survivre avec les loups sorti en 2008. Ce film est complétement à l’opposé de cette histoire pourtant il m’y fait penser : Il raconte l’histoire d’une jeune fille belge juive de 8 ans pendant la seconde guerre mondiale qui va essayer, seule, de retrouver ses parents déportés en Ukraine.

Elle a du mal à survivre et ne va y arriver que d’une seule façon : en s’intégrant dans une meute de loups et en devenant l’une des leur.

Ce film est donc l’histoire d’une fille qui va « devenir » un loup tandis que la nouvelle parle d’une meute de loups auxquels on aurait donné un aspect humain en leur laissant exprimer leurs émotions. C’est comme je l’ai dit précédemment une personnification tandis que le film est plutôt une animalisation de la petite fille.

Tessa Deconchy nous montre que parfois les animaux sont bien plus intelligents que l’on ne le pense.
Ils doivent se débrouiller seuls dans la nature, ils vivent mais surtout ils survivent. Tandis que nous les humains avec l’évolution de la société avons l’habitude du confort et avons perdu tous les instincts que nous avions acquis de nos ancêtres éloignés. De plus les loups vivent en meutes, donc ils sont solidaires, c’est le principe de la vie de ces derniers avec l’attribution à chacun d’un rôle précis. C’est naturel chez eux alors que nous, les hommes, essayons de mettre en place un esprit de solidarité, mais ce n’est plus instinctif. Nous sommes de plus en plus indépendants.
Contrairement, parfois, certains hommes se comportent comme des animaux : alors qu’ils sont normalement des êtres « civilisés », ils jettent leurs déchets par terre ou négligent leur hygiène comme des animaux car ces derniers n’ont pas la même conception de la propreté que nous (bien que certaines bêtes soient « très propres »)
La petite fille du film en intégrant la vie des loups a retrouvé toutes les valeurs que les hommes ont perdu au fil du temps.

 

Ce récit en 3 mots ?

 Instructif : Je ne me suis jamais intéressée au merveilleux animal qu’est le loup. Je ne savais donc pas grand choses sur lui et ce livre m’a permis d’en apprendre un peu plus sur son mode de vie, notamment sur l’organisation de la hiérarchie au sein d’une meute ou sur son alimentation.

 Efficace : Tessa Deconchy nous montre qu’en seulement quelques pages, on peut écrire une histoire complète et aboutie. Simple et efficace donc, la « clé de réussite » d’une bonne histoire.

 Accrochant : L’auteure réussit vite à nous mettre dans l’ambiance de l’histoire, on ne s’en lasse pas et c’est important car comme c’est une nouvelle, elle est très courte donc il faut vite nous donner envie de la lire.

 

Si je devais trouver un nouveau titre pour Canis Lupus, ce serait :

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Voici une lecture de « Canis Lupus » que j’ai choisie de vous offrir :

 

POUR EN SAVOIR PLUS :

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Sites des éditions Héloïse d’Ormesson avec l’actualité du Prix Clara

 

Tessa Deconchy l’auteure de cette nouvelle : 

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Blog crée par tous les lauréats du Prix Clara 

 

La bande annonce du film : « Survivre avec les loups »

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Biographie de Véra Belmont, réalisatrice du film.

 Mathilde, 3e2

 

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