Si ce livre était une saisonse serait le printemps car cette saison ne commence pas très bien. C’est dur avec le froid et les nuages. De même, cette histoire commence douloureusement. Le personnage principale Sisanda est une jeune adolescente qui est malade. Elle a des problèmes cardiaques ce qui réveille notre empathie et nos émotions car nous sommes incités à nous mettre à sa place, d’autant que c’est elle qui raconte son histoire dans un récit à la première personne. Ce roman est l’histoire d’un combat contre la maladie. On se pose beaucoup de questions: Sa maladie est-elle guérissable ? Pourra-t- elle avoir la somme d’argent dont elle a besoin pour se faire soigner ?
Cette histoire se passe en Afrique, sur un continent très pauvre. Une des questions que pose ce récit serait l’injustice liée à la pauvreté. Pourquoi doit-elle aller dans un autre pays se faire soigner? Pourquoi ce pays n’a pas les mêmes moyens que le nôtre? Mais la fin de cette saison se termine magnifiquement bien comme ce livre.
C’est le renouveau du printemps, Sisanda pourra peut-être avoir un nouveau cœur.
Si ce roman était une partie du corpsce serait les pieds car la mère de Sisanda, Maswala dont le nom signifie antilope, est une coureuse. C’est sa passion, elle a choisi une activité que ne peut pas faire sa fille à cause de ses problèmes cardiaques. Les pieds symbolisent les déplacement ce que ne peut pas faire Sisanda. Cela symbolise également la liberté de mouvement que Sisanda n’a pas non plus car elle se déplace sur le dos de son oncle Ben.
« -Mlle Habari ne se lasse jamais de la table de sept, mais elle fait semblant de ne rien remarquer lorsque, chaque jour, j’arrête tout pour guetter Maswala par la fenêtre de l’école. Elle court plus que jamais… Chaque jour, elle s’entraîne en suivant le même itinéraire, et je suis capable de prévoir presque exactement le moment où elle va surgir du sommet de la colline. Toujours à la même heure avant que la chaleur ne devienne trop forte. »
Si ce livre était une matière scolaire se serait les mathématiques car Sisanda est très forte en mathématiques.Tous les jours elle compte les battements de son cœur et le nombre de jour qu’elle a vécu depuis sa naissance. Sisanda est en colère contre son cœur, elle voudrait pouvoir sauter, jouer avec les autres mais elle ne peut pas à cause de son petit cœur imbécile. Imbécile car il ne fonctionne pas comme les autres cœurs, pour Sisanda il a une maladie idiote.
« -Oui, parfaitement ! Mon petit cœur imbécile !
Le jour où tu cessera de faire n’importe quoi, je ne t’appellerai plus que
« mon petit cœur adoré », c’est promis.
Mais pas avant.
Si la petite marchande de rêves était un objet ce serait un masquecar un vendeur d’objets magiques, dont on ne donne pas le nom, que tout le monde admire et respecte cache tous ses mauvais coups. Ce vendeur représente toutes les grandes surfaces de notre monde qui nous vendent du rêve avec des publicités ou des « supères affaires ». Malo et Lili, les deux héros, vont être comme beaucoup d’autres attirés par ce magasin de magie et se fantaisie. Malo et Lili ont en effet été séduits par les boites à rêve du magicien. Malheureusement, ils vont être faits prisonniers par le magicien et vont devoir remplir ses boites à rêve et ainsi lui rapporter de l’argent comme les grandes surfaces qui nous incitent à avoir toujours plus et les nouveaux modèles. Le magicien fait découvrir de nouveaux objets magiques chaque jour pour attirer les clients et les piéger plus facilement.
<< Vous m’appartiendrez jusqu’à m’avoir récolté 100 Brouzons (pièces de monnaie)
mais je vous libérerai si vous me les apporter avant l’aube. >>
Si ce récit était unecouleurce serait le blanccar la couleur blanche rappelle l’innocence de Malo. En effet, s’il est très malin il est aussi un peu naïf. Il va faire de belles rencontres mais aussi de mauvaises. Dans le royaume des ombres, royaume où Malo atterrit suite à son accident dans le monde réel, on rencontre des ombres gentilles qui sont de passage mais peuvent rester 100 ans comme 1 jour dans ce royaume. Il y a aussi des spectres méchants qui eux sont nés dans le royaume des ombres et y sont coincés pour toujours. Leur rôle est de tendre des pièges aux ombres pour qu’elles ne puissent pas repartir. Malo va se faire piéger plus d’une fois par ces spectres. Dans la forêt vivent également des monstres…
- On ne risque pas de provoquer la fureur des monstres en traversant leur forêt sans leur permission ? s’inquiéta Malo d’une voix angoissée.
- Oh que si ! Et par ici ils sont assez cruels. En même temps tu aurais voulu leur envoyer un formulaire de demande d’autorisation ?
Je ne suis pas certaine qu’ils se seraient montrés plus accueillants. >>
La tour Eiffel car elle est aussi présente dans le royaume des ombres.
Ce royaume est en noir et blanc mais ça ne l’empêche pas d’être merveilleux et c’est ce que j’ai bien aimé dans ce livre. Le sol est recouvert de neige chaude, la Lune est en diamant et les arbres parlent.
Si La petite marchande de rêves était une fleur ce serait un arum car elle évoque le mystère du royaume des ombres, un monde entre la vie et la mort dans lequel Malo et Lili vivent leurs extraordinaires aventures. Cette fleur évoque aussi la pureté des enfants et leur fragilité. Malo a du mal à soupçonner les spectres.
Dans le livre La petite marchande de rêves il y a un dicton qui est souvent répété :
<<Lorsqu’on disparaît pour la première fois, on fait un rêve. La deuxième fois, on ne rêve plus.
La troisième fois on ne vit plus que dans les rêves des gens qu’on a connus.>>
Hunger Games est une trilogie de science-fiction dystopique c’est à dire qui imagine un futur malheureux. Dystopique est le contraire du mot utopique, où on imagine un futur monde sans soucis, comme dans un conte de fée .
Si ce roman était un lieuce serait l’arèneoù se déroule le jeu des Hunger Games dit « le jeux de la faim » en français car c’est dans l’arène que commence le révolte menée par Katniss Everdeen, une jeune fille de 16 ans (dans le tome 1) qui a pris la place de sa sœur de 12 ans lorsque celle-ci a été tirée au sort pour participer à ce jeu. D’où la révolte contre le capitole organisateur des Hunger Games. Ce jeu « Hunger Games » est un jeu où les participants, une fille est un garçon de 12 à 18 ans de chaque district sont tirés au sort chaque année. Ce jeu consiste à survivre. Le dernier des 24 candidats dans l’arène, donc le gagnant aura pour récompense de la nourriture et des vivres pour tout son district. Pour le capitole ce jeu est un moment de fête où l’on mange à s’en faire vomir tandis que des enfants sont en train de s’entre tuer .
Si ce roman était un nombre ce serait le nombre 13 car Panem, une ville d’Amérique du Nord est divisée en 13 districts dont un reste secret. Le capitole qui dirige les districts de Panem a réussi à les mettre en conflit à cause des Hunger Games et du manque de communication entre les districts. Mais avec la révolte menée par Katniss les 13 districts s’unissent contre le capitole.
« Je m’appelle Katniss Everdeen. Je devrais être morte. Maintenant je vais mener la révolte. »
« Je dois maintenant prendre les choses en main, devenir le visage, la voix, l’incarnation de la révolution.
La personne sur laquelle les districts – pour la plupart en guerre ouverte contre le capitole -
peuvent compter pour leur ouvrir la voie vers la victoire » . (p.16-17 du tome 3 )
Si ce roman était un tableau ce serait« les 4 cavaliers de l’apocalypse »car le capitole met en oeuvre ces 4 cavaliers – la Mort en faisant mourir 23 enfants par an avec les Hunger Games; la Famine en ne faisant pas exporter les produits de districts en districts, chacun devant se nourrir des aliments de son district; la Guerre en assassinant tout opposant au capitole; la Conquête en ayant le pouvoir sur tout Panem -.
Si vous voulez en savoir un peu plus sur l’auteur Suzanne Collins
Voici une vidéo qui vous montrera la vision du capitole envers cette organisation :
J’ai beaucoup apprécié cette trilogie carau fur et à mesure de l’histoire, en partant d’une simple envie de sauver sa sœur, Katniss en arrive à des idées révolutionnaires pour libérer tous les districts du pouvoir qu’exerce sur eux le capitole. Personnellement, cela me fait penser à une organisation sociale d’esclavagisme, où une minorité de puissants décide du sort des plus démunis qui n’ont aucun droit, ce qui justifie les principales cause de la révolte: la liberté et l’égalité . En y réfléchissant, cette histoire peut être vue comme un roman politique car elle renvoie à différent modèles politiques de l’histoire. Ce qui me choque le plus c’est le fait que cet événement s’appelle « le jeu de la faim » comme si c’était un JEU .
Un de mes passages préférés se trouve vers la fin de l’histoire quand Katniss dit :
« Ce qu’il me faut , c’est le pissenlit au printemps . Le jaune vif qui évoque la renaissance plutôt que la destruction. .La promesse que la vie continue , en dépit de nos pertes . »
Les royaumes du Nord a été écrit par Philip Pullman en 1995 et publié en Folio Junior. Il est le premier livre de la trilogie A la croisée des mondes.
Si ce roman était un végétal, ce serait un perce-neige. L’héroïne, une jeune fille au nom de Lyra est comme cette fleur. Depuis toute petite, elle vit dans l’Oxford d’un monde parallèle au nôtre. Elle habite au Jordan Collège, un lieu prestigieux contenant majoritairement des scientifiques et des érudits. Elle passe son temps à jouer avec le fils d‘un cuisinier, Roger. Un jour, il est pris en otage par les enfourneurs, des personnes enlevant des enfants dans un but inconnu. Lyra se lance alors à sa recherche… Au fur et à mesure de l’aventure, elle évolue, passant de bourgeon à fleur. Malgré le fait que sa mère soit son ennemie, qu’il y ait des ours dangereux, et qu’elle se sente seule, elle continue à y croire. Elle perce toutes les difficultés.
Si ce roman était un élément, ce serait l’air parce qu’il symbolise la liberté. Dans les royaumes du Nord, la liberté est très importante. Il y a d’un côté les gens pouvant vivre libres, et de l’autre ceux prisonniers des enfourneurs : Cette femme t’a transformée en animal domestique ou ce qu’il disait était juste; elle se sentait étouffée, privée de liberté.
L’air fait aussi penser à Panthalaimon, le daemon de Lyra. Un daemon est un être faisant partie de l’âme et du corps de son maître. Il peut changer de forme à volonté, jusqu’à ce qu’il adopte une forme définitive, Celle qui leur correspond le mieux.
Celui de Lyra prend souvent une forme de papillon de nuit pour voler.
Si les royaumes du Nord était une couleur, ce serait le jaune car c‘est la couleur de l’énergie. L’héroïne, Lyra n’a pas froid aux yeux. Elle défie toute personne sur son passage, et n’a pas peur d’aller dans les endroits qui lui sont interdits. On le constate grâce à la phrase : Tu ne crains rien à ce que je vois commenta Mme Coulter admirative.
Le jaune est également la couleur du mensonge En effet, Lyra ment souvent!:
C’était le mensonge le plus dangereux quelle ait jamais formulé.
L‘auteur omet également des détails pour garder le mystère. Par exemple, à la fin du livre on ne sait toujours pas exactement ce qu’est un daemon.
Si ce récit était un animal, ce serait un ours parce que dans le roman, il y a des ours en armure. Leur armure est une partie d’eux, qui les rend plus forts. Ils souffrent d’en être séparés. Dans sa recherche dans le Nord, Lyra deviendra amie avec un ours en armure, Iorek Byrnison. Celui-ci s’est fait voler son armure et lui demande de l’aider à la retrouver :
Le cœur de Lyra cognait dans sa poitrine car quelque chose dans la présence de l’ours lui faisait sentir la proximité du froid, du danger, de la force brutale, mais une force contrôlée par l’intelligence, une intelligence non humaine, car les ours ne possédaient pas de daemons.
Si ce livre était un objet, ce serait une boussole parce qu’elle sert à montrer le Nord : les royaumes du Nord. La boussole fait également penser à l’aventure et aussi à l’Aléthiomètre que le maître du collège donne à Lyra. Il ressemble à une boussole avec de petits symboles. Il sert à faire les bons choix et à répondre à des questions ouvertes et fermées. Il permet de résoudre les énigmes, et d’aider Lyra à prendre des décisions : Il marcha vers le bureau et sortit d’un tiroir un petit objet enveloppé de velours noir. Quand il le déballa, Lyra découvrit une sorte de grosse montre, ou de petite horloge : un épais disque de cuivre et de cristal. On aurait dit une boussole ou quelque chose de ce genre.
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Pour vous donner envie de lire le livre, je vous propose d’écouter une lecture offerte de la première page du livre :
Voici la bande annonce du film inspiré du premier tome de A la croisée des mondes. Il a été réalisé par Chris Weitz et est sorti le 5 décembre 2007 en France :
Texte et illustrations : Clémence 5e4 – Avril 2018
Si le Tour du Monde en 80 jours étaitune capitale ce serait Londres car cette ville regroupe plusieurs nationalités et cultures différentes. Philéas Fogg, riche gentleman Londonien est amené à travers le défi de ses collègues du Reform Club à réaliser le Tour du Monde en 80 jours. Dans cette ville, on retrouve des gens originaires de quelques pays qu’il a traversés. On y retrouve un personnage originaire de l’Inde, Mrs Aouda, ou encore un Français prénommé Jean Passepartout. Ces personnages contribuent par leur investissement auprès de Philéas à la réussite de son défi. Les connaissances et leurs expériences liées à leurs propres cultures sont autant d’atouts pour le gentleman.
« Donc, ajouta-t-il en consultant son calendrier de poche, puisque c’est aujourd’hui mercredi 2 octobre, je devrai être de retour à Londres le samedi 21 décembre ici-même. »
Si le Tour du Monde en 80 jours était un objet ce serait un sac de voyage en cuir car le cuir est à la fois souple, chaleureux et qui peut être malmené. Philéas traverse des hauts et des bas, des moments de joie et de peine: sa rencontre avec Mrs Aouda qui va devenir sa femme à la fin du voyage, ou encore l’enlèvement de Jean Passepartout, son valet de chambre, par les Sioux vont perturber son voyage.
Le côté douillé est illustré par exemple par cette remarque : « Ce wagon était un sleeping qui, en quelques minutes, fut transformé en dortoir. Les dossiers des bancs se replièrent, des couchettes soigneusement paquetés se déroulèrent par un système ingénieux, des cabines furent improvisées en quelques instants et chaque voyageur eut bientôt à sa disposition un lit confortable, que d’épais rideaux défendaient contre tout regard indiscret. »
Le coté malmené est montré par exemple par cette citation : Il n’était plus qu’à six heures de Londres. Mais à ce moment, Fix, (l’inspecteur de police) s’approcha, lui mit la main sur l’épaule, et, exhibant son mandat :
« Vous êtes bien le sieur Philéas Fogg ? lui dit-il. - Oui, monsieur.
- Au nom de la reine, je vous arrête! »
Ce passage illustre bien toutes les difficultés que Philéas Fogg rencontre. Contre toute attente et contre le cours du défi, il est jeté en prison, y passe une nuit, mettant à mal la réussite de son projet.
Si le Tour du Monde en 80 jours était un oiseau ce serait un colibri. C’est un oiseau migrateur, voyageant de pays en pays et capable de parcourir de très longues distances. Comme le colibri, Philéas traverse les continents rapidement afin de réussir son pari.
Le colibri ne s’arrête jamais de voler même la nuit. Son plumage aux couleurs vives n’est pas sans rappeler les couleurs chaudes et chatoyantes rencontrées par Philéas au cours de son séjour en Inde.
« Treize cents milles environ séparent Singapore de l’île de Hong Kong, petit territoire anglais détaché de la côte chinoise. Philéas Fogg avait intérêt à les franchir en six jours au plus, afin de prendre à Hong Kong le bateau qui devrait partir le 6 novembre pour Yokohama, l’un des principaux ports du Japon. »
« La locomotive, dirigée par le bras d’un mécanicien anglais et chauffée de houille anglaise, lançait sa fumée sur les plantations de cotonniers, de caféiers, de muscadiers, de girofliers, de poivriers rouge. »
Jules Verne nous montre à travers ce récit que le courage, la force et la volonté de réussir permettent de franchir des étapes qui paraissaient insurmontables. On voit qu’au delà du caractère de Philéas, la solidarité des habitants d’autres pays a permis à Philéas de réussir.
« Cependant le train allait quitter la station d’Allahabad. Le Parsi attendait. Mr. Fogg lui régla son salaire au prix convenu, sans le dépasser d’un farthing. Ceci étonna un peu Passepartout, qui savait tout ce que son maître devait au dévouement du guide. »
« Parsi, dit-il au guide, tu as été serviable et dévoué. J’ai payé ton service, mais non ton dévouement. Veux tu cet éléphant ? Il est à toi. »
J’ai découvert grâce à ce livre de nouveaux pays et j’ai voyagé aux cotés de Philéas Fogg et de ses compagnons! Durant cette lecture, je me suis évadée. Depuis que je suis petite, mes parents me font voyager et visiter beaucoup de nouveaux pays. Grâce aux aventures de Philéas dans ce récit je me suis souvenue de tous ces moments.
Les petits tigres Koumal et Sangha naissent ensemble dans la jungle avec leur mère, puis ils se font élever chacun de leur côté. Je trouve que c’est comme les cerises parce que quand on les voit, elles sont souvent attachées par deux alors que quand on les mange, on les sépare. Ils sont séparés car des aventuriers vont dans la jungle quand les tigres sont bébés puis les capturent pour les tuer.
« Installé à l’avant du chariot, Aidan ne prête attention ni à ses lamentations, ni à celles de Koumal, enfermé dans une cage en osier posée derrière lui. Fou de colère, le jeune tigre cherche à dévorer le bois qui l’emprisonne pour s’échapper. »
Si ce livre étaitun vêtement ce serait un déguisement :
Les deux frères vont se retrouver lors d’un combat. Quand on est déguisé, on ne se reconnaît pas forcément. On ne sait pas si Koumal et Sangha vont se reconnaître. Ils ont grandi et ont donc changé de physique. L’un a le pelage plus clair et l’autre plus foncé, l’un les yeux verts et l’autre les yeux marrons… Les tigres ne parlent pas mais ils pensent et on connait leur pensées grâce au narrateur.
Deux frères est un roman intéressant et cela ma fait penser que les vrais frères ou sœurs finissent toujours par se reconnaître s’ils se sont déjà vus que ce soient des humains ou des animaux. Un livre qui nous rappelle que les animaux sont intelligents et ont des émotions. Un sujet qui tient fort à cœur à Karine Lou Matignon :
Si la révolution dans la peau était une saison, ce seraitl‘hiver car parfois l’hiver est très dur comme cette l’histoire.Le récit évoque le fait que les esclaves sont très mal traités, les blancs les prennent pour des objets, de la marchandise. C’est inhumain.
« : Il recule un peu, prend de l’élan. Le fouet commence à lacérer le dos du fugitif. »,
« Il y a une hiérarchie à maintenir si vous ne voulez pas que les quatre-vingt-dix-mille esclaves de votre ile(Guadeloupe),
se croientles égaux des dix-mille Blanc à qui ils appartiennent. »
Si mon romanétait un objet ce serait une lettre car c’est grâce à une lettre que Lucille-jeune fille aventurière, vivant en Guadeloupe et mariée à un jeune homme possédant des esclaves noirs- change complètement sa vision des noirs et devient même en faveur de l’abolition de l’esclavage, car elle fait la découverte d’une révélation surprenante…
«Cette lettre va bouleverser ta vie»
Si la révolution dans la peauétait un film ce serait Moi moche et méchant car au début, le héros du film est un méchant qui a pour objectif de voler la lune. Par la suite, grâce à l’adoption de trois jeunes filles, il se rend compte qu’il a de l’affection pour elles. Il décide donc de se reprendre en main en essayant d’arrêter son coéquipier, qui, lui, continue de vouloir voler la lune. Je trouve que ce film représente bien La révolution dans la peau car dans les deux oeuvres les personnages évoluent et leur vision de la vie change. C’est au fil de son voyage que l’héroïne évolue. Elle part de Guadeloupe à bord d’un bateau, puis fait escale à Nantes, et rejoint Paris en calèche. Ses escales, ses rencontres, tout au long de cette aventure, vont lui fait vivre une transformation qui va changer sa vie. On pourrait en déduire que le voyage est essentiel car si Lucille était restée chez elle,en Guadeloupe, elle n’aurait peut-être pas ouvert les yeux sur le fait que la couleur n’a pas d’importance et que ce qui compte c’est ce qui se trouve à l’intérieur de chacun.
« Je méprise les noirs autant que toi »
dit Lucille à son ex-mari au début du récit.
« J’embrasse Evariste » dit-elle à la fin du récit en parlant de son ancien esclave, de couleur noire dont elle est tombée amoureuse.
TROIS PETITS MOTS…
EMOUVANT : Le roman est très palpitant et fait ressentir beaucoup d’émotions, certains passages sont particulièrement tristes et touchants.
PRENANT :C’est un récit très dynamique, on a tout le temps envie d‘avancer car il y a presque tout le temps de l’action et des changements de situations qui apportent cette « énergie » au livre.
ESPOIR: La révolution dans la peau me fait penser à l’espoir car l’histoire nous démontre que l’humain peut changer de vision sur le racisme.
Mon avis
J’ai trouvé ce roman plutôt intéressant car il n’y a pas trop de description mais suffisamment pour réussir à visualiser les personnages . Je l’ai également apprécié car je n’ai pas l’habitude de lire ce genre de livre .Le récit n’est pas trop long et il y a peu de personnages ce qui facilite la lecture (je ne le conseille pas aux personnes qui aiment les livres épais ), il est écrit avec des mots simples, parfois anciens mais qui restent compréhensibles .
POUR EN SAVOIR PLUS
L’auteur,Serge Rubin, est né a Paris et n’est pas très connu pour l’instant mais pour en savoir plus c’est par ici !!
Le voyage de la couleur
Si je devais renommer mon roman, je l’intitulerai Le voyage de la couleur car c’est un voyage à la fois dans la tête de l’héroïne et en même temps un voyage « physique » vers Paris.
Si Le tour du monde en 80 jours était un endroit dans le monde, ce serait l’Angleterre, car, en 1872, Phileas Fogg, un riche gentleman anglais, très grand, d’une cinquantaine d’années caractérisé par une attitude impassible, y démarre son voyage. La nouvelle se diffuse très vite dans les journaux anglais: Mais il est très mal vu par la population car ce voyage parait impossible à réaliser. C’est aussi en Angleterre qu’il reviendra à la fin du récit.
Si ce récit était un aliment, ce seraitun fruit exotiquecar Phileas Fogg et son valet Passepartout font le tour du monde et ils voyagent dans des pays comme l’Inde, la Chine ou le Japon. Ils ne les connaissent pas et les découvrent comme un fruit exotique qu’on déguste. Passepartout est fasciné par ces nouveautés alors que Phileas Fogg reste inexpressif. Mais un personnage arrive dans l’histoire: l’inspecteur Fix. C’est un inspecteur anglais, qui, comme d’autres, est posté sur le territoire anglais qui est très vaste à l’époque. Il va essayer d’arrêter Phileas Fogg et va tenter de le retarder car le mandat d’arrestation ne peut avoir lieu qu’en zone anglaise. Il essaye également de se lier d’amitié avec Passepartout pour obtenir des informations sur son maître. Ce dernier, qui n’est pas au courant du cambriolage de la banque d’Angleterre, pense que Fix A été envoyé par les autres membres du Reform Club pour voir comment progressait Phileas Fogg dans son voyage.
» -Et c’est curieux, cette Inde là ? dit Passepartout
- Très curieux ! Des mosquées, des minarets, des temples, des fakirs, des pagodes, des tigres, des serpents, des bayadères ! Mais il faut espérer que vous aurez le temps de visiter le pays ?dit Fix
- Je l’espère, monsieur Fix …. « page 76
Si le tour du monde en 80 jours était un animal, ce serait un éléphant, car letrain qui traverse l’Inde a eu un accident et Phileas Fogg doit voyager sur le dos d’un éléphant pour poursuivre son trajet. Phileas Fogg reste toujours impassible mais en revanche Passepartout est émerveillé.
« ….qu’il s’agissait en fin de compte d’un pari de vingt mille livres, que cet éléphant lui était nécessaire et que, dût-il le payer vingt fois sa valeur, il aurait cet éléphant {…} et à 9 heures l’animal, quittant la bourgade, s’enfonçait par le plus court dans l’épaisse forêt de lataniers. »pages 100, 101 et 102.
En trois mots ?
Pari car Phileas Fogg a parié avec des membres du Reform Club où se retrouvent des hommes riches et considérés d’Angleterre, que s’il faisait le tour du monde en moins de 80 jours, il gagnerait cinq mille livres sinon il en perdrait vingt mille. Il est persuadé que c’est possible. C’est plutôt étonnant car il n’a pas l’habitude de voyager. Passepartout, son nouveau valet qui vient d’entrer à son service est sidéré de devoir partir sur le champ.
Course car ce voyage est vraiment une course contre la montre, et de plus, Phileas Fogg vit beaucoup de péripéties comme sauver une jeune femme, Mrs Aouda qui allait être brûlée par une tribu en Inde. Passepartout se fait enlever par des indiens d’Amérique, et Phileas Fogg est fait prisonnier car il a été confondu avec un homme qui avait cambriolé la banque d’Angleterre. Et il y a encore beaucoup d’autres aventures !
Curiosité car quand on lit ce livre, on se demande tout le temps ce qui peut arriver, et donc on a envie de le finir. Il y a des moments passionnants, mais aussi d’autres un peu ennuyeux car certains passages se répètent, notamment les voyages en bateaux et en train. Mais je le conseille fortement pour les moments d’aventures.
Un nouveau titre ?
Course contrela montre autour de la Terre
Voici un extrait en lecture offerte du tour du monde en 80 jours :
On trouve beaucoup de ressources documentaires pour ce roman : Pinterest
Un extrait de film
et en dessin animé :
Livre et son auteur :
Le tour du monde en 80 jours a été créé en 1872 par Jules Verne, célèbre écrivain, qui est né le 8 février 1828 en France et qui est mort le 24 mars 1905 en France.
Son premier livre fut « Cinq semaines en ballon » En 1859, il part avec Aristide Hignard à la découverte de l’Ecosse. En 1862, il rencontre un éditeur du nom de Hetzel. Il lui propose un manuscrit intitulé Voyage en l’air. Il sera publié un an plus tard sous le titre « Cinq semaines en ballon« , connaîtra un grand succès et sera le premier volume des Voyages extraordinaires. C’est le début d’une longue collaboration et d’une longue amitié entre Verne et Hetzel.
Le Tour Du Monde En 80 jours a été publier en janvier 1873 chez l’éditeur Hetzel à Paris
Mr Otto Lidenbrock est un minéralogiste retraité Allemand. Il habite dans une grande maison. C’est un homme qui n’est pas très aimable mais son neveu Axel l’adore. Axel, lui, vient voir son oncle de temps en temps, il est passionné de minéralogie depuis son plus jeune âge. C’est un jeune homme d’environ vingt ans, allemand aussi et il aime l’aventure. Mr Lidenbrock et Axel avaient le projet de descendre au cœur de la Terre. Pour cela ils eurent besoin d’un guide nommé Hans, un chasseur d’eider* Islandais, que le professeur payait trois rixdales* par semaine. A l’origine Mr Lidenbrock et Axel avaient trouvé un parchemin écrit de la main d’Arne SKANUSSEM, un savant Islandais de l’époque des croisades.
*Rixdale: francs
*Chasseur d’eider: Cette « chasse » consiste simplement à recueillir le duvet dont la femelle de cet oiseau tapisse son nid.
Si Voyage au Centre de la Terre était une partie du corps, ce seraitle nombrilparce que c’est le centre du corps et qu’un géologue retraité, Mr Lidenbrock, Axel, Hans, embarquent pour une odyssée au centre du globe.
« C’est parti, Axel, nous allons au cœur du globe. »
Si Voyage au Centre de la Terre était un instrument de musique, ce serait un saxophone. Les personnages s’engouffrent dans les entrailles du globe en descendant dans le Sneffels, un volcan Islandais éteint, et ressortent par le Vésuve comme les notes de musique dans un saxophone.
« On entrait dans le globe par un endroit et on ressortait par un autre. »
Si « Voyage au Centre de la Terre » était une saison, ce serait l’été. Il fait toujours chaud dans les entrailles de la Terre. Paradoxalement, il ne fait pas chaud à en mourir, la température maximale atteinte est de 45°C
En trois mots ?
Désespoir d’Axel, perdu.
Mystérieux: on se demande si Axel le narrateur perdu, va retrouver ses compagnons.
« J’étais dans le noir le plus complet et je me demandai si je retrouverais mes compagnons. »
Combat entre deux animaux antédiluviens (dinosaures)
Profond: on est profondément emballé par l’histoire, surtout au moment où le professeur Lidenbrock, Axel et Hans assistent à un combat de dinosaures. Sous terre !
« Devant nous se déroulait un massacre, deux bêtes se battaient. »
Ainsi qu’au moment où ils descendent dans les abîmes de la Terre « Cette descente semblait infinie. »
Sauvage : Le monde souterrain est peuplé de créatures hostiles comme des dinosaures. « Soudain un troupeau de Mégalausaures passa à moins de vingt mètres de nous. »
Je pense que Jules Verne veut faire croire aux gens qu’il est possible de descendre au centre de la Terre parce que ses écrits ont l’air d’avoir été vécus. Pourtant par rapport au livre Le Tour du Monde en 80 jours, il est possible de faire le tour du globe en moins de temps. Donc l’image « fictive » que les gens se font des récits de Jules Verne est différente à chaque récit. Cet auteur était un visionnaire du 19/20e siècle. De plus il a imaginé pouvoir faire le tour en 80 jours, maintenant on peut le faire en beaucoup moins de temps.
J’ai adoré ce livre parce qu’à certains moment il y a du suspense. J’ai aimé le passage où ils descendent dans les abîmes de la terre, les personnages ne savent pas à quoi s’attendre. Il y a aussi de l’action comme quand ils fuient un combat entre deux dinosaures, on se demande s’ils vont tomber de leur embarcation et se faire dévorer ou si tout va bien se passer. Je conseille ce roman aux autres personnes à condition qu’elles aiment le suspense.
Voila un extrait du film si vous êtes intéressés (J’ai trouvé ce film assez sympathique, ça change un petit peu l’histoire originale mais si on s’est intéressé aux deux on comprend) :
Si mon livre était des couleursça serait les couleurs bleuetrosecar ce livre émet deux émotions différentes comme ces deux couleurs. Le bleu me fait penser à l’angoisse et le rose à la joie. J’ai angoissé quand Emile, le jeune héros de ce livre se trompe de gare et ne peut pas voir sa grand -mère et je me suis réjouie quand il s’est fait des nouveaux copains à Berlin en sortant de la gare, qui ensuite vont le suivre et l’accompagner tout au long de son aventure.
Si mon livre était un instrument de musiquece serait un *Ukulelecar aucun moment dans ce livre n’est triste. Il y a du mystère mais jamais de tristesse… Ce livre est plein d’émotion quand Emile prend le train de Neustadt pour la première fois dans l’idée d’offrir un bouquet de fleurs à sa Grand mère, plein d’émotion quand il rencontre ses copains, plein d’émotion quand il poursuit celui qui lui a dérobé son argent, plein d’émotion quand l’un de ses copains tombe amoureux, et enfin plein d’émotion quand, une fois l’argent retrouvé, la grand mère invite tout le monde autour d’un repas.
Si mon livre était unepartie du corpsce seraitles piedscar dans ce livre Emile et sa bande de copains vont courir dans toute la ville pour rattraper un voleur surnommé « l’ homme au chapeau melon ». Cet homme a prolongé son voyage pour voler Emile et plonger sa main dans la poche intérieure du manteau du jeune garçon qui s’était endormi au moins durant la moitié du voyage qui le menait à sa grand mère. « l’homme au chapeau melon » a profité qu’Emile s’endorme pour lui dérober son argent !
… « Emile se réveilla au moment où le train se remettait en marche. En fait, il s’était endormi et, pendant son sommeil, il était tombé de la banquette en bois et se retrouvait maintenant par terre, étreint par l’angoisse, son cœur battant comme un marteau piqueur. »…
Si mon livre était unfruitce serait des groseillescar c’est un fruit très savoureux et surprenant dans son goût . Dans ce livre, chaque future page a envie d’être savourée…on attend la suite…comme quand on a envie de déguster une grappe de groseilles. Ce livre est surprenant dans son style d écriture raconté comme une aventure et comme un roman policier.
J’aurais aimé que cette histoire soit plus longue…
Si mon livre était un objetce serait une valise car Emile ne fait que voyager avec sa valisette qu’il « trimbale » avec lui du début à la fin de son voyage pour Berlin. Je compare l’histoire aussi à une valise car on ne connaît pas son visage du voleur, hormis le fait qu’il ait un chapeau melon. Une valise, tant que l’on ne l’a pas ouverte, reste aussi secrète et mystérieuse car elle peut contenir des billets comme des vêtements.
Si mon livre était une œuvre d’artça seraitl’homme au chapeau melon, de René Magritte. Le visage de l’homme secache derrière la colombe, un peu comme quand Emile a connu Monsieur Grendeïs plus connu sous le nom de « l’ homme au chapeau melon ». L’écrivain ne le décrit jamais. Il propose du chocolat à Emile dans le train et une heure après cet homme lui dérobe tous ses deniers. « l’homme au chapeau melon » se montre gentil au tout début mais peu de temps après, il dévoile son caractère de voleur et mal meneur.
…« Près de la fenêtre, un homme avec un chapeau melon sur la tête , était absorbé par la lecture de son journal. Au bout d’un moment, ce dernier le replia, sortit de sa poche une barre de chocolat et la tendit à Emile»…
Si mon livre était une saison ce serait l’Automne car j’imagine tout à fait l’homme au chapeau melon avec une gabardine, un chapeau melon et des gants en cuir arpentant ce train dans une saison assez froide mais pas trop.
Si mon livre était une musique ce serait « Pacific 231 d’Artur Honegger » car le fond de musique retranscrit les bruitages d’un train qui roule. La musique est pleine de suspense comme une enquête qui doit être résolue, et d’angoisse sur laquelle on peut aussi imaginer une course poursuite d’hommes dans ce train qui avance.
UN NOUVEAU TITRE ?
A la poursuite de Man in the bowler hat
Je donne ce nouveau titre à mon livre car Emile et sa bande de copains détectives se mettent à la poursuite du voleur en empruntant différents chemins, essayant d’encercler l’homme au chapeau melon dans la ville de Berlin.
NOUVELLE COUVERTURE
Mon livre en 3 mots
Passionnant,car il y a plusieurs chapitres où l histoire nous fait voyager à Berlin. Il y a beaucoup de suspense et plus je lisais, plus j avais l‘envie que l‘histoire ne se termine pas.
Merveilleux, car la fin de l‘histoire est heureuse, toutes les frustrations de l’histoire sont évaporées. Un des copains d‘Emile noue une relation amoureuse avec *Pony bibi…
Palpitant, car Emile arpente les rues de Berlin, essoufflé et malmené par « l’homme au chapeau melon ». Emile va connaître plusieurs infortunes et, d’aventures en mésaventures il maintient le lecteur en attente avec une certaine angoisse.
Ce livre a un véritable scénario du début à la fin, Emile a peur car il a peint la statue du Grand Duc, il ne peut s’aider de la Police qui risque de le « coincer » et devient un détective malgré lui avec ses amis pour démasquer le voleur et le faire arrêter. Il aura même un article dans le journal sur son exploit.
Définition des mots :
*Berlin : Capitale de l’Allemagne
*ukulele : Instrument à cordes d’origine Hawaienne
*Madame Tischbein : Mère d Emile
*Pony bibi :La cousine d’Emile
Voici le « Emile et les détectives» réalisé en 1931
Voici en lecture un extrait que j’adore car 2 générations sont représentés dans l’extrait et dans le livre 3 générations : 1*La Grand mère 2* la mère, la tante, l’homme au chapeau Melon et 3* Emile et ses amis.
En1872, un riche gentleman Londonien nommé Fileas Fogg parie 20 000 livres ( 500 000 francs ) qu’il fera le tour du monde en 80 jours. Accompagné de son valet de chambre, Jean Passepartout, il part de LONDRES et tente de remporter ce pari qui, pour l’époque, semble impossible ( à l’époque, les avions n’existaient pas, on ne pouvait voyager qu’en train ou en bateau et il suffisait d’une interruption pour que Fileas Fogg perde son pari) …
Si le tour du monde en 80 jours était un endroit du monde, ce serait Londres car c’est la ville dans laquelle on retrouve un peu de tous les pays traversés et de toutes les cultures rencontrées par Fileas Fogg, On peut y rencontrer des personnes originaires de la plupart des pays du Commonwealth comme des Indes, d’Égypte, d’Afrique de l’Est et de Hong Kong .
Londres est aussi la ville de départ et d’arrivée de Fileas Fogg.
« Donc, ajouta-t-il en consultant son calendrier de poche, puisque c’est aujourd’hui mercredi 2 octobre,
je devrai être de retour à Londres le samedi 21 décembre ici-même«
Fileas Fogg est un homme à la carrure imposante, qui reste toujours de marbre face aux choses les plus incroyables. Il est aussi très organisé et très maniaque dans sa manière de faire les choses.
Exemples :
» C’était un homme qui pouvait avoir 40 ans, de figure noble et belle. »
» Il paraissait posséder au plus haut degré ce que les physionomistes appellent « le repos dans l’action » faculté commune a ceux qui font plus de besogne que de bruit.
» C’était le programme du service quotidien [...] tout était noté, prévu, régularisé ».
Si mon livre était une musique, ce serait la lettre à Élise car c’est une musique qui alterne des des tempos rapides et d’autres plus calmes comme dans cette histoire.
En effet, ce roman présente :
- des moments avec beaucoup d’action, comme par exemple :
lors de la traversée de la Mer Rouge, les personnages sont attaqués par des requins.
En Inde, Fileas Fogg va sauver une jeune femme d’un sacrifice humain.
En Amérique, les personnages sont attaqués par des Sioux et le secrétaire de Fileas Fogg, Jean Passepartout, est enlevé ; Fileas Fogg va aller le sauver.
- et d’autres moments qui sont plus descriptifs :
présentation assez longue des paysages rencontrés,
parfois des discours long et, à mon avis ennuyeux, de Fileas Fogg (par exemple sur l’utilité des passeports au début du roman).
Si j’avais écrit ce livre, je lui aurait donné comme nom: Course contre la montrecar s’il ne veut pas perdre son pari, Phileas Fogg doit se dépêcher !
Si l’Odyssée était unobjetce serait un bateau car Ulysse le personnage principal et ses compagnons,veulent retourner sur leur île Ithaque. C’est la capitale du royaume d’Ulysse qui compte quatre iles Doulichion, Samé, Zante et Ithaque elle-même. Ils reviennent de Troie où a eu lieu une grande guerre donc ils doivent naviguer un long moment en bateau.
Si l’Odyssée était un endroit du mondece serait une îlecar Ulysse et ses compagnons s’arrête toujours sur des îles sur lesquelles ils veulent faire des poses, des siestes, un peu manger…
Si l’Odyssée étaitun sentiment ce serait la tristesse car Ulysse va perdre petit à petit tous ses compagnons au fil de son voyage car des créatures bizarres vont les tuer comme le Cyclope, Charybde et etScylla…
Ce serait aussi la peur car les créatures bizarre sont vraiment très effrayantes et dans l’Odyssée on ne sait jamais ce qui va se passer.
Ce serait aussi l’amour car Ulysse veut absolument retourner sur son ile pour retrouver sa femme Pénélope qui lui manque beaucoup tout comme son fils Télémaque car il ne les a pas vus depuis plus de 9 ans.
Et ce serait aussi l’amitiécar Ulysse et ses compagnons sont vraiment proches les uns des autres et dés qu’un des compagnons meurt, ils pleurent tous de tristesse et c’est pour cela que je trouve que c’est un vrai lien d’amitié.
Si l’Odyssée était un animal ce serait un escargotcar un escargot c’est lent et pour retourner à Ithaque Ulysse et ses fidèles compagnons mettent plus de 9 ans à cause des dangers qui leur font perdre beaucoup de temps : soit les créatures mangent, dévorent les compagnons d’Ulysse, soit elles les emprisonnent pendant plusieurs jours ou années.
Homère c’est un poète ou un aède de la fin du VIIIe siècle av Jésus Christ. Il est célèbre grâce à l’Iliade et l’Odyssée
Un nouveau titre ?
A la découverte des îles
EN TROIS MOTS?
AVENTURE car l’odyssée raconte un voyage avec beaucoup de mésaventures. Je le conseille à ceux qui aiment les récits avec du suspense
RUSES car Ulysse trouve toujours de très bonnes ruses pour échapper aux monstres comme pour l’histoire du cyclope où il dit qu’il s’appelle Personne.
COURAGE car Ulysse et ses compagnons malgré tous les dangers, tiennent absolument à retourner sur leur ile Ithaque et ils ne veulent pas renoncer. Ils sont déterminés. Ulysse tient vraiment à retrouver sa femme Pénélope et son fils Télémaque.