CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE

Posté par rabelaisblog le 27 avril 2014

Charlie et la Chocolaterie

de Roald DAHL

charlie et la chocolaterie

Si mon livre était…

http://www.dailymotion.com/video/x1rrl1o

chien errant

Un ANIMAL…Ce serait un CHIEN DES RUES car Charlie Bucket, le personnage principal du roman, est un jeune garçon qui vit dans une petite maison en bois avec ses parents (Mr et Mrs Bucket) et avec ses quatre grands-parents (grand-maman Joséphine et grand-papa Joe, grand-maman Georgina et grand-papa Georges). Mr Bucket travaille comme simple visseur de bouchon de dentifrice, ce qui ne permet pas de subvenir aux besoins de la famille. Charlie est donc un enfant relativement pauvre qui a faim et qui aime écouter les histoires de grand-papa Joe sur la merveilleuse chocolaterie Wonka,la plus grande et la plus célèbre du monde entier,visible depuis la maison de Charlie. Le petit garçon passe tous les jours devant l’usine de chocolat et y reste pour humer la délicieuse odeur de chocolat qui en sort, tel un chien errant et affamé, qui ne cherche qu’une seule chose: MANGER.

« Deux fois par jour, sur le chemin de l’école, puis au retour, le petit Charlie Bucket passait devant les portes de la chocolaterie. Et, chaque fois, il se mettait à marcher très très lentement,le nez en l’air, pour mieux respirer cette délicieuse odeur de chocolat qui flottait autour de lui.Oh!Comme il aimait cette odeur! »

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EMILY THE STRANGE

Posté par rabelaisblog le 17 mars 2014

Emily The Strange

tome 1 : « Les jours perdus » / tome 2 : « De plus en plus étrange » / tome 3 : « Dans le noir » /tome 4 : « Maux d’esprits »

L’héroïne des romans « Emily the strange » est Emily, une jeune adolescente de treize ans. Elle est très solitaire et ne vit qu’avec sa mère. Emily ne va pas au collège et n’a pas d’amis. Elle vit en marge de la société  et principalement la nuit. Dans les premiers tomes, on retrouve l’héroïne perdue au milieu de nulle part. Elle ne se rappelle plus qui elle est, même sont nom lui est inconnu. Dans les tomes suivants elle se rend compte qu’elle est la descendante d’une lignée de femmes possédant chacune des dons extraordinaires. Ce don lui permettra plus tard, de se cloner ou même de voyager dans le temps. Au fil des livres elle se fera un ennemi, il cherchera en vain à lui voler ses pouvoirs.

Le livre est présenté sous forme de carnet de bord. Emily y écrit tout ce qu’elle fait dans la journée. Elle accompagne ses notes de dessins principalement effectué à l’aide crayons noirs et rouges. Au fil des pages on peut même trouver les plans de ses machines saugrenues ou les cartes des villes qu’elle visite

Le ton utilisé au fil du texte et les nombreux dessins permettent de nous plonger dans l’univers de la jeune fille.

Affichage de collage_20140317001107844.jpg en cours...

***

Si mon livre était un animal, il serait un chat. Cet animal est très présent aux côtés de la jeune fille. Ne supportant pas les jeunes de son âge, Emily n’est accompagnée que de ses quatre chats.

« Bon, où sont les chats ? Je suis en manque, j’ai besoin de mes chats. J’ai besoin de me plonger dans le regard infini de Mystère et d’écouter les miaulements idiots de Shabbath. J’ai besoin de sentir les moustaches de NeeChee me chatouiller le menton. J’ai besoin que Miles vienne planter ses griffes dans la paume de ma main. je n’en peux plus !!! Rendez-moi mes chats !! »

 

 EMILY THE STRANGE  dans LECTURES CURSIVES cats

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Si mon livre était un objet, il serait un humanoïde. Emily s’avère être un génie de la mécanique et de la technologie et parvient donc à fabriquer son propre humanoïde qu’elle nommera Raven et qui, par la suite, l’accompagnera lors de ses périples à la recherche d’elle-même.

« Raven a emboîté tous les cartons comme des poupées russes. J’hallucine, c’est Bécassine au pays des golems. M’en veut de ne pas lui avoir introduit les bases du rangement dans son programme informatique. »

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Si mon livre était une attitude, il serait la désinvolture et la nonchalance. Ce qui résume parfaitement le caractère de la jeune que ce soit avec sa mère ou ses rares amis.

« Interrompue par quelqu’un qui frappait à la porte de ma chambre. Maman. Je lui ai promis que je faisais mes cartons. C’est faux. Me prépare à sortir. »

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Si mon livre était un paysage, il serait une rue de Memphis la nuit, animée et lumineuse. Cette ville du Tennessee semble vivre la nuit, au même rythme qu’Emily.

« Je m’amusais bien à Blandibulle, finalement j’avais fini par m’y habituer. J’avais une petite routine bien rodée d’explorations nocturnes avec les chats, de séances de skateboard de folie, sessions de guitare virtuoses et déjantées sur le toit , ateliers de peinture murale sauvage et quelque canulars publics inoffensifs. L’été n’est pas loin, les nuits sont douces, et j’ai toute la vie devant moi. »

***

Si mon livre était un parfum, il serait l’essence « Jazz Club » de la maison Martin Margiela. Ce parfum rappelle l’odeur du cuir et du tabac mais quelques notes sucrées viennent contrer ces odeurs boisés voir âpres.Le site de la Maison Martin Margiela : http://maisonmartinmargiela.com

« Brooklyn, 2013
Sonorités colorées, entre les fauteuils de cuir profonds et les hauts tabourets bar, les lumières tamisées se reflètent sur le piano, les cocktails distillent leur notes liquoreuses…
« Jazz Club » illustre l’ambiance masculine grisante des clubs de jazz new-yorkais. »

Jazz Club Maison Martin Margiela

Notes de Tête :
Poivre rose
Citron primofiore
Essence de néroli

Note de Coeur :
Absolu de rhum
Essence de sauge sclarée
Essence de vétiver de Java

Note de Fond :
Absolu de feuilles de tabac
Gousses de vanille
Styrax

***

Si mon livre était une œuvre, il serait soit la chanson « If I had a heart » de Fever Ray. Cette chanson nous plonge dans une ambiance inquiétante et sombre mais dès que les premières notes chaudes et envoûtantes sortent de la bouche des deux chanteurs, nous sommes emportés.

Soit la chanson « Renégats » du groupe de rap 1995. Les samples rock installent une ambiance électrique et angoissante comme plongée au cœur d’une scierie et le flow agressif et prenant nous réveille à chaque début de vers et les punchlines des cinq emcee agissent comme des gifles qui ne peuvent que nous laisser bouche bée.

Le mélange de ces deux chansons accompagné, par exemple, d’un classique d’Elvis Presley, reconstitue parfaitement l’atmosphère de ces quatre romans.

***

Ce livre est à lire quand lorsque l’on a des envies de rébellion pour s’évader :

« Les nuits sont douces, et j’ai toute la vie devant moi. »

 

***

L’auteur : Rob Reger, créa le personnage d’Emily, en 1991, pour des fins commerciales. Emily fut d’abord un personnage illustrant des tee-shirts, des affiches, des mugs,… Mais suite à son succès, Emily fut adaptée en comics en 2001 puis son histoire fut coécrite par Rob Reger et Jessica Gruner en 2003.

http://www.youtube.com/watch?v=bRopz4ihJUU

***

Nouveau titre ?

« Laisse moi seule, j’ai besoin d’air ! »

***

Mon livre en trois mots :

 Aventure

Solitaire

Incroyable

***

Pour aller plus loin :

Le site de produits dérivés Emily The Strange : emilystrange.com

L’album de fever Ray disponible sur le site amazon.com

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L’album du groupe 1995 « La Suite » disponible sur amazon.com

la-suite

Toutes les citations de texte sont tirées des quatre tome du roman « Emily The Strange »

Clémence Purkat 4ème7

 

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LES CONFIDENCES DE CALYPSO -

Posté par rabelaisblog le 16 mars 2014

 

Les confidence de Calypso -Tyne o’connell

LES CONFIDENCES DE CALYPSO - dans LECTURES CURSIVES

 

Calypso est américaine. Elle a quinze ans et, depuis le collège, ses parents l’ont envoyé dans un pensionnat de jeunes filles de très bonne famille, le plus chic de toute l’Angleterre. Fille de scénaristes d’Hollywood, elle est loin de ressembler à ses camarades. Ce n’est pas facile pour elle de se faire accepter parmi les dignes représentantes de l’aristocratie britannique… Surtout lorsque le prince Freddie tombe sous son charme… Jalousies en perspective !

Si mon livre était ….

un animal ce serait un lapin  car c’est l’animal de compagnie de calypso Kelly le personnage principal de ce roman/fiction. Elle a 15 ans ,elle est  Américaine et elle est inscrite dans un pensionnat très chic Anglais  .

 dans LECTURES CURSIVES

Si mon livre était un objet se serait un sabre car Calypso fait partie de l’équipe de sabres (filles) dans son pensionnat

Si mon livre était un aliment Ce serait des bonbons car pour chaque petites soirées improvisée dans les dortoirs du pensionnat Anglais, Calypso emmenaient des bonbons de toutes sortes pour ses amies.

Si mon livre était une humeur ce serait la joie car dans chaque chapitre de ce roman il y a toujours une grande touche de joie apportée par Calypso qui enchaîne les maladresses  avec humour .

Si mon livre était une fonction (un métier) ce serait sabreur professionnel car c’est le rêve du personnage principal (Calypso) qui dirige déjà une équipe nationale .

Si mon livre était un paysage ce serait une forêt d’été pendant une pleine lune car a pratiquement chaque pleine lune Calypso Kelly  et ses amies sortent discrètement de leur pensionnat Anglais pour pouvoir s’amuser, et discuter tranquillement entre copines

Mon livre en trois mots 

rire, escrime et amies

Rire car dans ce roman il y a beaucoup de rire et de joie partagée entre amies .

Escrime car Calypso est la championne d’escrime de son pensionnat et va participer à des combats nationaux contre d’autres pensionnats dont le pensionnat pour garçons qui est à trois kilomètres du leur; ils partagent même le gymnase pour s’entraîner aux compétitions .

Amies car le personnage principal se fait beaucoup d’amies pourtant au début ce n’était pas gagné d’avance car c’était la seule Américaine du pensionnat Anglais et elle avait un accent trop marquer au goût des filles du pensionnat .

 

Tyne o’connell 

D’origine Australienne ,elle a parcourut le monde pour jouer au poker. Mariée puis divorcée deux fois, mère de trois enfants (deux garçons et une fille) elle s’est lancée dans la littérature pour adolescent, avec des livres qui connaissent un franc succès puisqu’ils seront traduit en plusieurs langues. Elle vit aujourd’hui seule a Londres où elle continue à écrire des livres .

si je devais donner un nouveau titre, je lui donnerais :

En Garde !!

si je devais donner une nouvelle couverture :

En garde Lea

Léa -4°7

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CROC-BLANC

Posté par rabelaisblog le 15 mars 2014

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              

Croc Blanc livre couverture

                                                                                                                                                                                   Si mon livre était …

                                                                                                                                                                                         Un aliment  ?  de la viande …

                                                                                                                                                                                      viande


Si mon livre était un aliment, ce serait de la viande. En effet, les loups se nourrissent de viande. L’histoire se déroule dans le nord du Klondike. Durant certaines périodes de l’année, les espèces qui y vivent connaissent la famine . Dans ce livre, les famines sont courantes et au cours de sa vie, Croc Blanc en  subit de nombreuses. La viande se fait rare et la faim s’accroît de plus en plus. Les flammes  de vie s’éteignent peu à peu : les loups sont démunis de ressources ! Ils deviennent squelettiques et ils sont réduits à manger des Hommes , puis à se manger entre eux ! Même les Hommes souffrent de famines.

* Pour le numéro des pages , je possède le livre Croc-Blanc, de poche édition Hachette.

« On aurait pu croire qu’il s’agissait de la plainte d’une âme errante si l’on n’y avait décelé l’indéfinissable sauvagerie née de la colère et de la faim.[...]« Ils sont à nos trousses, Bill » p.11

« Les loups se ruaient effectivement sur lui. Il en était submergé. L’un d’eux planta ses crocs dans son bras. Instinctivement, il sauta dans le feu tandis que d’autres dents acérées pénétraient dans la chair d’une de ses jambes. » p.39

« Comme la plupart des créatures de ces immensités sauvages, les habitants connurent la faim.[...]Puis le manque de nourriture les réduisit peu à peu à une sorte d’engourdissement comateux »[...]« Les louveteaux ne faisaient plus que dormir, et la flamme de vie dont ils étaient animés commença à vaciller, menaçant de s’éteindre. »; »Quand le petit loup gris revint à la vie [...] tous les autres avaient disparu. » p.67

« Puis les chiens commencèrent à se manger entre eux et les hommes se mirent à manger des chiens. » p.141

 » Un jour, Croc Blanc rencontra un jeune loup hâve et squelettique, abruti par le manque de nourriture .[..] Mais dans l’état où il était, il se jeta sur le jeune loup, le tua et le dévora. » p.142

Dans le Grand Nord, il existe aussi la loi de la viande : MANGER OU ÊTRE MANGÉ.

« Et la loi découlait de cette classification. Le  but de la vie, c’est de se nourrir. La vie elle-même est de la nourriture. La vie se nourrit de la vie. Il y a ceux qui mangent et ceux qui sont mangés. Telle est donc la loi : MANGER  OU ÊTRE MANGÉ. » p.87

                                                                                                                                                                                                             Une arme ? Un gourdin… 

                                                                                                             menfi08b

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CHERUB N°3 : ARIZONA MAX

Posté par rabelaisblog le 13 mars 2014

CHERUB N°3 : ARIZONA MAX 

CHERUB 3 ARIZONA MAX

SI MON LIVRE ÉTAIT…

Si mon livre était un paysage ce serait un paysage désertique ; la majeur partie du livre se déroule dans une prison qui se trouve  dans le désert. Mais le désert est aussi l’emblème de la solitude et de l’abandon, c’est la sensation qu’on les détenus : ils n’ont pas d’amis (solitude), et ils abandonnent tout espoir de reprendre un jour une vie meilleure. Dans ce livre, le héro James Adams, agent de l’organisme CHERUB, devra entrer dans une prison pour mineurs d’Arizona, se faire passer pour un détenu et se lier d’amitié avec le fils d’un très célèbre couple de gangster actuellement recherchés.

« Au cœur du désert brûlant de l’Arizona, 280 jeunes criminels purgent leur peine dans un pénitencier de haute sécurité. Plongé dans cet univers impitoyable, James Adams, 13 ans, s’apprête à vivre les instants les plus périlleux de sa carrière d’agent secret. Il a pour mission de se lier d’amitié avec l’un de ses codétenus et de l’aider à s’évader d’Arizona max. »

         

Prison

Paysage desertique

Si mon livre était une citation ce serait : « On a deux vies. La deuxième commence le jour où on réalise qu’on en a qu’une. » de Conficius. Cette citation reflète bien les pensées des détenus : ils se rendent compte de leurs erreurs une fois qu’il est trop tard pour se rattraper et qu’il n’auront pas la chance de se reprendre en main, ils n’auront pas de deuxième vie.

 Conficius

Pour aller plus loin…

Confucius, sage chinois, est né dans l’État de Lu (actuelle province du Shandong), Confucius aurait vécu à une période où les empereurs de la dynastie des Zhou avaient perdu leur autorité sur l’ensemble du pays. Du personnage historique, on sait seulement qu’il est issu d’une famille noble déchue – ses ancêtres auraient appartenu à la maison ducale de l’État des Song. Après une jeunesse passée dans la pauvreté, Confucius occupe de hautes charges dans le gouvernement de l’État de Lu, comme ministre de la Justice et comme ministre intérimaire. Il s’illustre par la médiation qu’il entreprend au moment où le prince de Lu entre en guerre avec le prince de Qi. Malheureusement, sa vie politique sera brève. Vers 496 avant J.-C. , il doit s’exiler, par suite d’une intrigue politique. »

POUR EN SAVOIR PLUS SUR CONFICIUS CLIQUE ICI.

Si mon livre était un aliment ce serait sans doute le piment, d’une part parce que ce livre est très « pimenté » car il est très intriguant, avec beaucoup de rebondissements… Et tout comme le piment, riche en goût, ce livre est riche en suspense et surtout ce livre est très accrocheur.

 piment

 

Si mon livre était un animal ce serait le renard. En effet, il s’agit d’un animal très rusé et très vicieux, tout comme le personnage principal, lorsqu’il doit se faire passer par un détenu pour pouvoir libérer le fils des gangsters, et il détient toutes les qualités qu’un agent secret doit avoir. En effet dans le livre, le héro dans s’échapper de prison avec le fils des gangsters, il faut être rusé, habile, machiavélique pour réussir à un jour s’échapper de prison, élaborer un plan d’une stratégie redoutable et mettre son plan a exécution. Ce sont les qualités qu’on pourrait donner à renard : rusé, habile, intelligent,…

 

« Vous devrez vous montrer extrêmement prudent lorsque vous vous trouverez dans cette zone, Car il aura sous la main le bouton qui déclenche l’alarme générale et qui boucle toutes les portes de la prison. Si ça se produit vous ne pourrez plus les ouvrir, même avec une carte magnétique. Quand vous serez sorti du bloc avant d’atteindre la double enceinte vous devrez  passer par la salle de repos du personnel. Il est peu probable que vous y  rencontriez qui que ce soit. D’après mes informations c’est une pièce insalubre pas le genre d’endroit où les surveillants aiment traîner après leur service. [...]« 

CHERUB N°3 : ARIZONA MAX  dans LECTURES CURSIVES renard

 

Si mon livre était un objet ce serait une arme ; l’histoire se déroule dans une prison, et dans ce livre on remarque très vite que la vie là bas, n’est pas de tout repos,  j’ai en effet choisi l’arme car comme dans un duel, c’est la loi du plus fort, toujours le plus gros calibre qui l’emporte. Dans ce livre courage rime avec force, sans l’un il n’y a pas l’autre. James était très fort, il avait reçu d’indomptables entrainements de combat mais n’était rien à côté de ces caïds ; parce qu’ en vérité, James ne savait rien du monde réel, il s’entraînait seulement quelques fois au simulateur, mais les autres détenus, eux, purgent une peine pour des faits atroces.

« Stanley arma son bras et s’apprêta à frapper. Dave bloqua  son poignée avec une facilité déconcertante, lui donna un violent coup de coude à l’estomac puis, au moment où son adversaire se pliait en deux sous l’effet de la douleur, il balaya ses chevilles d’un ample mouvement de la jambe et l’envoya un rouler au sol. »

 dans LECTURES CURSIVESBagarre-impressionnante-dans-une-cellule-de-prison

 

Mon livre en 3 mots :

Amitié : Malgré que le héro ne soit qu’en mission, il se lie d’une amitié très forte avec la cible, malgré sa lutte contre ça. Mais le livre nous apprend un très bel enseignement sur l’amitié : L’amitié est plus fort que tout.

Quelques citations de Balzac pour justifier:

- “Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme, est un sentiment qui manque à l’amour, la certitude”

- “Le malheur a cela de bon qu’il nous apprend à connaître nos vrais amis”

- “Rien ne renforce plus l’amitié entre deux hommes que lorsque chacun des deux considère qu’il est supérieur à l’autre”

Le saviez vous ?

Robert Muchamore, dernier d’une famille de quatre enfants, voit le jour le 26 décembre 1972 à Tufnell Park, au nord de Londres, là même où il fera naître deux de ses principaux héros, James et Lauren Adams. Peu motivé par les études, il enchaîne les petits boulots avant d’être embauché par une agence de détectives privés, « ce qui, dit-il, est loin d’être aussi intéressant que ça en a l’air ». En 1999, alors qu’il passe quelques semaines en Australie, chez l’une de ses soeurs, il entend son neveu d’une douzaine d’années se plaindre de ne rien trouver d’intéressant à lire. Robert Muchamore, que l’envie d’écrire tenaillait depuis longtemps, a trouvé son « créneau » : il se lance dans la rédaction de ce qui deviendra le premier tome de la série CHERUB, 100 jours en enfer parution avril 2004.
C’est le début d’un succès qui ne se démentira pas. Robert Muchamore quitte alors son agence de détectives privés et se consacre à plein temps à l’écriture.

POUR EN SAVOIR PLUS SUR ROBERT MUCHAMORE 

OU ENCORE ICI

UNE NOUVELLE COUVERTURE ET UN NOUVEAU TITRE

 MAXIME

J’ai choisi cette couverture car elle reflète parfaitement, la vie en prison, donc l’histoire. Comme je l’ai expliqué précédemment, l’histoire tourne autour d’une tentative d’évasion ; et sur cette image on voit bien la sensation d’étouffement, qui est beaucoup montré dans ce livre.

C’est un livre que j’ai beaucoup apprécié, d’une part pour son réalisme et d’une autre part pour les sensations qu’il procure, que ce soit pendant ou après la lecture, ce livre fait beaucoup penser. « Entre 4 murs » va bien avec l’histoire également car le héros, James, était enthousiaste de commencer cette mission, mais une fois à l’intérieur il n’avait envie que d’une chose c’était de sortir de cet enfer. Il se sentait à l’étroit d’où le nom « Entre 4 murs » ; malgré cela, il a mené ça mission avec brio.  

Maxime 4°7

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COULEUR DE PEAU : MIEL

Posté par rabelaisblog le 9 mars 2014

Couleur de peau miel couverture tome1

Ce manga auto-biographique, en trois tomes, raconte la vie de l’auteur, Jung, né à Séoul, en Corée du sud, adopté à son plus jeune âge par une famille belge et qui va connaître à la fois la vie d’un garçon qui se découvre et les conséquences d’un déracinement. Les tomes décomposent son histoire en trois parties. La première parle de son enfance jusqu’à treize ans où ses yeux s’écarquillent devant un nouveau monde et où, tout comme tous les enfants de son âge, il s’amuse, apprend ou fait des bêtises.  Au milieu de quatre frères et sœurs, il grandit avec une mère adoptive plus maladroite qu’autoritaire et un père adoptif plus compréhensif. Malgré les efforts de tous, il subit à l’école les moqueries, les remarques racistes et se questionne sur ses origines, sur sa mère biologique. Il reçoit de l’affection de sa nouvelle famille mais il est en manque d’amour maternel. La deuxième relate son adolescence jusqu’à dix-neuf ans où les manques se font plus ressentir mais où il découvre la force de l’amitié et la dernière enfin, raconte son voyage en Corée à quarante ans où il tente de retrouver ses racines. Il éprouve des sentiments contradictoires sur la Corée qu’il renie et qu’il cherche à connaître. C’est à travers le dessin qu’il va finalement pouvoir exprimer ce qu’il ressent.

 L’auteur joue autant sur le registre de l’humour que sur celui de la gravité. Il traite sérieusement un sujet personnel sans se prendre pour autant au sérieux. Il alterne les moments de tendresse et de dureté,  de tristesse et de joie, de légèreté et de réflexion, cela rend la lecture de ce manga très agréable. Il utilise un style moderne qui donne envie de lire.

 Si mon livre était un animal, ce serait un panda vivant dans un zoo, privé de son environnement naturel. Il reçoit des soins, ses gardiens le caressent, les enfants l’adorent mais, malgré cela, il reste malheureux au point de ne pas pouvoir se reproduire. Capturé, le panda quitte la terre Asiatique pour rejoindre des zoos d’Europe et d’Amérique. Pour Jung, il quitte, lui aussi, la Corée à l’âge de cinq ans pour ce rendre sur une terre inconnue pour lui : l’Europe. Il arrive en Belgique wallone sans connaissance du pays ni de la langue : le français. Certes, il ne connaît pas la captivité car la famille hôte l’accueille les bras ouverts et il passe de la misère en Corée à la richesse d’un pays européen mais le déracinement est finalement le même.

  » Je ne suis pas arrivé en cigogne, en Belgique. Mes nouveaux parents sont venus me chercher à l’aéroport le 11 mai 1971. Ils ne parlaient pas le coréen. »

« Du COCA au goûter… Whaouw ! Pourtant, je n’étais pas en Amérique ! Je n’en revenais pas. J’ai du boire toute la bouteille ! Etais-je arrivé au paradis ? « 

Panda captvité Lire la suite… »

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INCONNU A CETTE ADRESSE

Posté par rabelaisblog le 8 mars 2014

 

 

Si mon livre était un animal ce serait un loup : j’ai trouvé que le loup symbolisait bien de l’histoire car les loups vivent en communauté, et c’est ce que dans ce livre l’auteur nous dit des hommes : Martin  défend sa patrie (Allemagne) et Max défend sa religion (judaïsme) 

« Nous devons présentement cesser de nous écrire. Il devient impossible pour moi de correspondre avec un Juif ; et ce le serait même si je n’avais pas une position officielle a défendre. »

 

Meute de loups

Si mon livre était un objet ce serait une plume, elle sert à écrire (comme écrire une lettre) mais aussi à faire voler l’oiseau, comme une lettre qui vole  à travers plusieurs pays pour arriver au destinataire. Je pense aussi que l’auteur a écrit ce livre en « correspondance » pour nous montrer la lâcheté et l’ingratitude des humains; l’auteur voulait nous donner une leçon de vie.

 INCONNU A CETTE ADRESSE  dans LECTURES CURSIVES

Si mon livre était un aliment ce serait : Les Tortillas  de Patatas (omelette aux pommes de terre) mon plat préféré que je dévore comme j’ai dévoré ce livre. Je l’ai lu car j’étais curieux de découvrir la fin de cette correspondance. Oui, car malgré l’ingratitude de Martin et la détresse de Max on veut continuer à lire  ce livre, car il est touchant, on peut peut être s’identifier facilement dans ce texte, non pas a l’histoire mais a la lâcheté de Martin envers Max

 dans LETTRES

Si mon livre était une humeur ce serait la tristesse : ils sont tous les deux tristes, en tout cas pour Max, il est bouleversée, de se faire trahir de la sorte par son ami, Max ne l’a pas supporté. En revanche pour Martin c’est plus de la haine qu’il éprouve aà l’égard de Max, peut être l’a-t-il aimé a une certaine époque… Et est ce que ce sont les affiches de propagande qui l’ont rendu antisémite? Dans tous les cas il  fait preuve d’ingratitude dans cette histoire. 

Si mon livre était une fonction (un métier) ce serait psychologue, en effet, comme dans le livre, l’auteur  analyse le point de vue de deux personnes.

Si mon livre était un paysage ce serait une affiche car il ferait allusion aux affiches pendant la guerre où  était inscrit « INTERDIT AUX JUIFS »

Si mon livre était une œuvre ce serait : « Les Montres Molles » de  Salvador Dalí car au début du livre, tout va très bien entre ces deux amis d’enfance, puis quand Martin annonce à Max qu’il est antisémite pour Max le temps s’arrête. 

« Nous devons présentement cesser de nous écrire. Il devient impossible pour moi de correspondre avec  un Juif ; et ce le serait même si je n’avais pas une position officielle à défendre. »

Les montres molles

Si mon livre était une autre œuvre d’art ce serait La chanson « Les loups sont entrés dans Paris » de serge Reggiani, car elle parle des Allemands Nazi qui débarquent dans Paris.

  Image de prévisualisation YouTube

 UNE NOUVELLE COUVERTURE ET UN NOUVEAU TITRE

 

Si je devais renommer mon livre je l’appellerai « Lettre du front »  Car j’ai trouvé que ce titre allait bien avec l’histoire, étant donné qu’ils s’échangent des lettres alors que Martin est au front, c’est d’ailleurs aussi pour ça que j’ai choisi cette couverture.  

 

 Copyright

MON LIVRE EN 3 MOTS

TRISTE

J’ai trouvé ce livre triste car il fait allusion à une période historique qui a bien eu lieu , et le seul fait de savoir qu’on a pu un jour se conduire comme cela avec un ami d’enfance me répugne.

PASSIONNANT

Grâce aux émotions fortes que j’ai ressenties en lisant ce livre, je l’ai trouvé passionnant. Il se laisse dévorer.

CAPTIVANT

Ce livre m’a « captivé » je l’ai lu très vite : je voulais absolument connaitre la fin.

 

Maxime, 4°7

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INCONNU À CETTE ADRESSE

Posté par rabelaisblog le 28 janvier 2014


INCONNU À CETTE ADRESSE dans A ECOUTER inconnu-adresse

 

Si mon livre était:

tache-noir-150x150 dans LECTURES CURSIVESune couleur ce serait le noir car c’est la couleur de la trahison. Max et Martin sont les meilleurs amis du monde, Max est un juif américain et Martin est allemand. Mais Martin change d’idéologie peu après l’élection d’Adolf Hitler. Max se sent trahi.

« La race juive est une plaie ouverte pour toute nation qui lui a donné refuge[...]Cordialement, Martin Schulse. »
Martin est séduit par cette idéologie. Martin Schulse écrit une phrase aussi horrible au milieu du livre.
- Un aliment ce serait le piment. Quand nous mangeons du piment, au début nous ne sentons pas encore le piquant du piment mais c’est après que le piquant ressort. Cela est exactement équivalent à ce livre car tout au fil du roman nous avons envie de continuer à le lire. C’est plus piquant à la fin. Ce livre est piquant car on espère tous que Max va réussir à faire changer Martin d’avis. Y parviendra-t-il ?
piment« Je sais que ton esprit libéral et ton cœur chaleureux ne pourraient tolérer la brutalité et que tu me diras la vérité. Cordialement Max »

 

 .

 Une oeuvre d’art ce serait <<Le Naufrage>> de Joseph William Turnerschiffbruch car pour moi les bateaux représentent Max, et la tempête est la désillusion. Donc, Max est dans une tempête de désillusion. Nous sommes évidemment du côté de Max.

« L’homme que j’aimais comme un frère, dont le cœur a toujours débordé d’affection et d’amitié, ne peut pas s’associer, même passivement au massacre de gens innocents[...]Il te suffit de me le confirmer par lettre par un simple <<oui>>, à l’exclusion de tout autre commentaire qui serait dangereux pour toi[...] Max.

Cher Max. La réponse est <<non>>. Tu es un sentimental[...]Martin Shulse ».

Nous sommes évidemment du côté de Max. Quand j’ai lu cela j’ai été très ému:
« Je suis convaincu que ce n’est pas mon ami qui m’a écrit cette lettre, et que tu vas me le prouver.
J’attends ce seul mot-ce<<oui>> qui rendra la paix à mon cœur. Écris le vite. Mes amitiés à vous tous. Max »
Ce passage montre bien l’incompréhension de Max envers Martin.
 

 Mon livre en 3 mots:

Amitié: Au début du livre, il y a une très grande amitié entre Max et Martin.

« Mon cher Martin, laisse-moi de nouveau t’étreindre par la pensée et transmets mes souvenirs les plus affectueux à Elsa et aux garçons. Ton fidèle Max »

 Bouleversant: Ce livre est bouleversant car pendant la guerre cela s’est  réellement passé. Des idées antisémites envers un ami qu’on a aimé, c’est vraiment triste à voir.


Vengeance: A la fin du livre Max se venge de Martin. Comment se venge-t-il? A vous de le découvrir…

Le saviez-vous?

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Kathrine Kressmann Taylor est un écrivain américain d’origine allemande née à Portland en 1903 et morte en juillet 1996. Elle est principalement connue pour son livre « Inconnu à cette adresse ».

 

Si vous voulez en savoir plus sur Kathrine Kressmann Taylor

 

Joseph Mallord William Turner est un peintre, aquarelliste et graveur britannique, né le 23 avril 1775 à Londres et mort le 19 décembre 1851 (à 76 ans) à Chelsea.

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Si vous voulez en savoir plus sur Joseph Mallord William Turner, cliquez pour suivre le lien

Si je devais donner un nouveau titre à mon livre ce serait  Ami ou ennemi.

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Je conseille « Inconnu à cette adresse » car il est captivant, nous avons envie de continuer à chaque fin de lettres,  de lire la suite. L’auteur aborde un sujet très difficile, ce livre est très dur à lire. Mais cela nous montre, le changement d’idéologie des allemands peu après l’élection d’Adolf Hitler. On est pris dans un suspense absolument trépidant qui est lié à l’évolution psychologique de ces 2 amis. 

Il existe une pièce de théâtre sur  »Inconnu à cette adresse »,Le metteur en scène est Delphine Malherbe, la première représentation a été fait en janvier 2012, voici la bande-annonce:
Image de prévisualisation YouTube


 Maria 4e7

 

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LETTRES DE L’INTERIEUR

Posté par rabelaisblog le 12 janvier 2014

 

Lettres de l’intérieur de John Marsen.

                                LETTRES DE L'INTERIEUR dans LECTURES CURSIVES

Si ce livre était un sentiment, il serait l’amitié, la complicité parce que ce sont elles qui unissent Tracey et Mandy. Ces sentiments sont omniprésents dans le livre comme cet extrait le confirme :

« Manna, la deuxième chose pire au monde ce serait si tu décidais de ne plus m’écrire. Mais le pire-pire serait qu’il te soit arrivé quelque chose ». 

Grâce à ces écrits, les filles oublient leurs vies habituelles pour s’ échapper et se réunir dans leur univers lorsqu’elles reçoivent ou s’envoient des lettres. Cela leur apporte du bonheur, le plaisir d’être entendue, écoutée, comprise et soutenue. 

Si ce livre était un aliment, ce serait une limonade car cette boisson a la particularité d’être acidulée, sucrée et pourtant un petit peu amère en arrière goût. « Acidulé » car les deux jeunes filles s’échangent des lettres intimes, personnelles et fortes où elles racontent toutes les deux leurs vies. « Amère » à cause du lourd passé de Tracey et parce qu’il peut rester des zones d’ombres dans chacune de leur vie. 

 » Tracey, que veut-tu dire par « ils les-lisent » ? Où es-tu bon sang ? Et tans qu’j’y suis, qui es-tu ? »

Si ce livre était un paysage, il serait une image de plage tranquille avec une mer calme mais au loin, on apercevrait de gros nuages gris apportant la tempête. La plage tranquille représente donc la vie monotone de Mandy avant sa rencontre avec Tracey et la tempête représenterait Tracey arrivant vers la plage (Mandy). Elle commencerait à mettre le désordre sur la plage (dans la vie de Mandy). Cet extrait du livre montre le bouleversement qu’amène Tracey dans la vie de Mandy :

 » J’admets que je suis encore sous le choc mais quelque chose me pousse à continuer de t’écrire. »

(Elle est sous le choc car elle vient d apprendre que Tracey est emprisonnée)

Si ce lire était une œuvre d’art, ce serait « le cri » d’Edvard  Munch :

                                             Le cri, Munch

                                      http://commentairesimages.free.fr/index.php?p=le_cri_tableau

Cette peinture représente la peur : pour Mandy, la peur de son grand-frère qui est un fanatique d’arme à feu, il en possède une dans sa chambre. Il a aussi un comportement très agressif envers ses parents et sa sœur. Pour Tracey, la peur de la prison, l’angoisse du temps qui s’arrête. Au fil de l’histoire, Tracey commence à moins appréhender la prison grâce au soutien moral que lui apporte ces lettres. En revanche, Mandy s’enfonce dans la crainte de son grand frère malgré le réconfort de Tracey,:

«  Il faut que je te dise aussi que Steve est devenu tellement bizarre que même maman et papa se retrouvent au pieds du mur, bien obligés de regarder les choses en face »

ou

 » J’ai tellement peur quand je sais qu’on va se retrouver seul dans la maison ».   

Un peu d’info…. :

Le peintre :

Edvard Munch était un peintre Norvégien. Il naquit le 12 décembre 1863 à Loten ( en Norvège ). Au début du XXème siècle, il était un artiste très prometteur. Son œuvre la pus connu est le cri, cependant il a aussi peint Les Quatre Fils du docteur Max Linde. Ces œuvres évoquent des thèmes récurrents de la vie, en effet elles représentent  pour la plus part la tristesse, la peur mais aussi l’amour. Ces productions font parties de l’expressionnisme et du réalisme. En 1902, suite à une scène violente avec Tulla Larsen, il se blessa avec un revolver. Suite à cela, il eu une dépression qui dura six mois. Après, il redevint un artiste. Dans les années 1938-1940, les nazies jugeront ses œuvres comme « dégénérées » alors ils les retireront des musées allemands ce qui le marquera profondément. Il fut un grand peintre du XIXème siècle. Il meurt à l’âge de 80 ans à Ekely, près d’Oslo.    

                                                                                                                    Description de cette image, également commentée ci-après
 

L’écrivain :

John Marsen est un écrivain australien. Il naquit le 27 septembre 1950. Dès un très jeune âge, il prend goût à la littérature. A l’age de 9 ans, il veut devenir écrivain. Il a notamment écrit la série de romans « Tomorrow ».  Il a aussi reçu le prix « Lloyd O’Neil Award »  

Voici le lien de son site officiel : http://www.johnmarsden.com.au/

ATTENTON : ce site est en anglais.

                                                                                                          John Marsden

                                                                        http://www.johnmarsden.com.au/about_short.html

MON LIVRE EN TROIS MOTS :

Si je devais décrire mon livre en trois mots, ce serait les mots amitié, suspense et rebondissement.

Solitude car c’est ce que ressente les deux filles, surtout Tracey, avant de se commencer à s’écrire.

Liberté car c’est ce que trouvent les filles lorsqu’elles s’envoient des lettres. En effet, Tracey arrive à avoir un moment de liberté lorsqu’elle écrit à Mandy ou lit une de ces lettres. En revanche, pour Mandy, il est tout a fait normal d’avoir une liberté.    

« Rebondissement » car des informations sont divulguées pendant le récit quand on  s’y attend le moins. 

NOUVEAU TITRE :

Si je devais choisir un nouveau titre pour ce livre je choisirai le titre «  Lettre de vie   » car Mandy et Tracey au cours de ces échanges de lettres, racontent leur vie, leur aventures. En effet, de son côté, Mandy raconte sa vie  » normale » comme le dit Tracey et Tracey raconte sa vie d’enfer dans son lieu de détention.

lettre de vie

Pour finir, je dirai que je recommande ce livre aux personnes qui aiment les récits sentimentaux, malgré que ce ne soit pas une histoire d’amour, il y a beaucoup de sentiment dans ce livre.

Romain 4°7 

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AURELIEN MALTE

Posté par rabelaisblog le 12 janvier 2014

Aurélien Malte

de Jean-François Chabas

 

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 Si mon livre était un animal, ce serait un chien, car le chien est gentil, mais peut être aussi méchant quand on l’embête. Dans le livre Aurélien Malte, le héros de l’histoire qui a été emprisonné pour avoir tué son beau père, n’est méchant que quand on l’embête et il est enfermé comme les chiens de la SPA qui ont envie de sortir et qu’on les aime comme ils vous aiment. Un chien peut égorger son maître s’il le frappe trop, comme Aurélien qui prenait des coups et entendait sa mère en prendre, comme on l’apprend au fil du roman. 

chien en cage

Si mon livre était un objet, ce serait une clef, car au cours de l’histoire Aurélien Malte fait la connaissance d’une dame qui vient lui rendre visite régulièrement. Au fur et à mesure du temps, il va éprouver de l’affection pour cette personne. C’est elle qui lui ouvrira les portes d’un monde nouveau quand il sortira de prison avec une nouvelle vision de la vie,  différente de celle qu’il a connue avant. Cette visiteuse lui apporte de l’affection et il lui écrit des lettres sur un cahier que jamais il n’osera lui donner. Aurélien attend les visites de cette visiteuse impatiemment pour la voir et lui parler.  

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Si mon livre était un aliment, ce serait un oignon car il est doux et quand on le coupe il fait pleurer sans qu’on le veuille et Aurélien Malte est doux et son histoire d’amour est émouvante car il aime en secret sa visiteuse et n’osera jamais lui  dire tout ce qu’il ressent pour elle. L’écriture l’occupe dans sa cellule et permet à Aurélien de nouer une relation importante qui le sort de sa solitude par l’imaginaire.

oignons

 

 

Si mon livre était un sentiment, ce serait la passion car Aurélien se prend de passion petit à petit pour la personne qui le visite en prison ; il se demande s’il  la reverra ou pas quand il sortira. Son affection se transforme en amour… Pour cela il lui écrit des lettres dans un cahier de brouillon et il n’osera jamais les lui donner !  L’écriture permet à Aurélien de raconter des choses qu’il n’a pas pu dire à cette chère visiteuse.

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Si mon livre était un métier, ce serait écrivain, car dans sa cellule de prison Aurélien Malte écrit des textes sur ce qui se passe chaque jour, et d’autres choses qui lui passent par la tête. Aurélien écrit pour pouvoir se changer les idées de ce qui se passe en prison.

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Si mon livre était un paysage, ce serait la montagne, car dans l’histoire, Aurélien Malte nous raconte que son grand-père est mort dans la montagne et  qu’il l’appréciait énormément  donc j’ai pris la montagne car c’est un très beau paysage de liberté et d’évasion et cela a un rapport direct avec l’histoire du livre. Son grand-père prenait une place énorme dans le cœur de Aurélien. Dans le livre Aurélien nous parle des moments qu’il a passés avec son grand-père étant jeune.

montagne

Si mon livre était une autre œuvre d’art, ce serait le film « Autant en emporte le vent », car au fil de l’histoire, Aurélien nous raconte aussi bien les moments de grande violence quand il se bat avec les prisonniers ou de la douleur solitaire quand il se blesse au sport en essayant de se défouler pour oublier la tristesse de sa vie, que des moments de passion qui vont naître de ses rencontres avec sa visiteuse.

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Mon livre en trois mots :

Ce serait : violence, joie et émotion 

 

Violence car Aurélien nous parle de la violence qui se passe entre les prisonniers, que certains peuvent être blessés gravement ainsi que de la violence que son beau père leur faisait à lui et à sa mère. C’est la violence que son père leur a fait subir qu’il a reproduit ensuite sur son beau père pour se venger des coups qu’il a reçus et l’a tué, ce qui l’a emmené en prison.

 

Joie car malgré  quelques passages, ce livre nous parle de la joie d’Aurélien qu’il a de voir et de rencontrer sa visiteuse. Il nous parle des moments heureux qu’il a vécus avec son grand-père avant qu’il ne meure dans un accident de montagne.

 

Emotion car ce livre est très poignant et nous parle de différents sujets. La visiteuse raconte à Aurélien ce qui se passe en-dehors de la prison, ce qui lui donne encore plus envie de sortir et Aurélien lui raconte des rêves qu’il fait la nuit en précisant que depuis qu’il l’a rencontrée, il rêve d’elle et de son grand-père. La visiteuse raconte à Aurélien des choses joyeuses de ce qui se passe dehors et Aurélien  ce qu’il fait la journée en attendant son retour avec impatience.  

 

 L’auteur :

 

Jean-François Chabas est né en 1967 en région parisienne. Il a principalement écrit des livres adressés à la jeunesse et qui traitent de thèmes différents toujours éducatifs. Il vit aujourd’hui au Pays basque et ses livres ont rencontré un grand succès.

Si je devais renommer le livre et lui donner une nouvelle couverture :

 

Pour le titre je donnerais : Amour à distance

J’ai choisi ce titre, car  la femme qui vient visiter Aurélien  est libre et Aurélien  est en prison… tout les sépare, liberté pour l’une, enfermement et solitude pour l’autre et pourtant…. un sentiment va naître au fil de leur relation épistolaire ! Nous ne  saurons jamais ce qui se passera à la sortie de prison d’Aurélien, ceci laissant libre cours à notre imagination.

 

La couverture que j’imagine:

Amour a distance

 

 Loïs – 4°7  

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LETTRES DE L’INTERIEUR

Posté par rabelaisblog le 10 décembre 2013

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Si mon livre était…

 

solitude-300x300 dans RECITS  un état… Ce serait la solitude car Tracey, une adolescente qui est dans une prison pour mineurs, se sent seule, ce qui la pousse à laisser une annonce pour découvrir le quotidien d’une adolescente ordinaire, qui va être Mandy, cette dernière étant une adolescente qui a une vie en apparence parfaitement banale. Cette correspondance va  devenir un échange épistolaire où elles s’écriront leur vie. Quand Mandy découvre que Tracey est en prison, on pourrait croire que leur échange de lettres va se termine alors qu’en fait, elles vont continuer à s’écrire malgré leurs grandes différences de milieu sociale principalement. Quand l’une ne répond pas aux lettres de l’autre, on voit l’inquiétude que ressent celle qui attend la réponse. 

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Trace, ne me fais pas ça. Je peux tout supporter sauf le silence. Si tu préfères qu’on arrête de s’écrire, ce sera comme tu veux, même si moi j’ai envie de continuer. Mais, au moins, il faut que je sache la vérité, je t’en prie, réponds. 

 

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Un objet… Ce serait un stylo car c’est le seul lien qui unit les deux filles. Un stylo  pour écrire leurs lettres, et donc pour communiquer leurs pensées, idées et expressions, ce qui rend l’histoire plus intéressante car ces deux jeunes filles qui ont une vie opposée, partagent quand même de nombreux liens qui les rapprochent comme la solitude et la curiosité.

L’écriture les apaise et les éclaire sur leur vie et elle leur permet aussi de s’ouvrir aux autres et au monde.

L’intérêt d’un roman de lettres, c’est que le lecteur peut se mettre à la place du correspondant des lettres ce qui lui donne  l’impression que l’histoire est vraie.

 

 

 

epluchage-artichaut1-300x150  Un aliment… Ce serait un artichaut car extérieurement, un artichaut est sauvage alors qu’à l’intérieur, plus on arrache ses feuilles,  plus on décèle son cœur tendre, égal à celui de Tracey, qui s’est adoucit grâce à cet échange de lettres. Plus on tourne les pages, plus on arrive au coeur de l’histoire, ce qui réfère à l’artichaut.

« Je me demande s’ils n’ont pas raison ici sur moi, si je ne suis pas en train de m’adoucir… »

 

Cette citation d’un passage d’une lettre écrite par Tracey montre qu’elle-même remarque ses changements par rapport à avant, c’est-à-dire au temps où elle n’écrivait pas.

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Un animal… Ce serait un loup en cage car Tracey, se montre souvent très agressive, ce qui fait fuir toute personne qui croise son chemin. Au fil des lettres qu’elle écrit à Mandy, on découvre que cette jeune fille est une personne de bon coeur, qui a comme des instincts de douceur et d’amabilité.

« Je frime dur en ce moment: j’aide à faire les lits, laver la vaisselle, ranger le linge. Plus charmante, tu meurs. »

Ce passage nous indique les efforts que Tracey accomplie depuis qu’elle se dévoile plus à Mandy. C’est l’écriture qui l’aide à changer.

 

 

 Une fonction… Ce serait juge car c’est une personne qui représente l’autorité et applique les règles, ce qui  est en relation avec l’incarcération de Tracey qui est finalement juste, malgré la souffrance que lui provoque cet emprisonnement. Elle arrive à prendre conscience de ses fautes, qui restent cachées tout au long de l’histoire et pourtant, Tracey ne renie jamais la gravité de ce qu’elle a fait.

« De toute façon, pourquoi crois-tu que je suis ici? Pour avoir piqué un Mars? Pris le train sans billet? Pas rendu mes bouquins de bibliothèque à la bonne date? (…) Je sais que je devrais être désolée, je le suis, mais alors je me mets à penser à tout ce fatras et je deviens trop dingue pour regretter aussi profondément et sincèrement que je devrais. »

« Je ne suis pas en train de geindre. J’ai mérité ce qui m’arrive, peut-être encore plus. »

Ce qu’elle dit nous montre bien qu’elle affirme avoir fait de graves erreurs, en revanche, elle ne les regrette pas, ce qui nous amène à penser qu’elle aimait faire des bêtises. Aurait-elle un mauvais fond? Ou alors, elle préfèrait sa vie d’avant à la prison, ce qui expliquerait qu’elle ne regrette rien. 

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Un paysage… Ce serait un paysage volcanique car un volcan en éruption est un phénomène incontrôlable de la nature, comme les colères de Tracey. Mais parfois le volcan est endormi, ce qui représente les moments calmes de Tracey. Cette comparaison fonctionne aussi pour Mandy et Steve, son frère violent

« Quand  Steve est en colère (…) il ne sait réagir que violemment. Il devient glacé – ses yeux sont morts, impossible de lui parler, son visage est livide et sa voix ressemble à celle d’un robot. (…) Il m’a battu quelquefois. Il m’a tordu le doigts en arrière, tordu les bras dans le dos, mise à genoux, donné des coups de pied entre les jambes, toutes sortes de trucs. »

Ce passage nous raconte la cruelle violence que subit Mandy à cause de son frère, ce qui est un lien avec la violence constante que subit aussi Tracey, dans sa prison au fond du Bloc A. C’est pourquoi, Tracey ne voulait pas parler de Steve car cela lui faisait penser à son passé et à sa vie présente, qu’elle essaie d’oublier, grâce à sa correspondance avec Mandy.

 » Je voulais savoir à quoi ressemblait la vraie vie. Je voulais savoir ce que font les gens normaux. (…) C’est pour ça que j’ai détesté savoir pour ton frère, parce que quand tu t’es mise à parler de lui, des bagarres et tout, tu te mettais à me ressembler ou à n’importe qui ici. Et je ne voulais pas ça. Vingt-quatre heures par jour, j’ai mon compte. »

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Une œuvre d’art… Ce serait  Le Cri  d’ Edvard MUNCH car il représente le mal être, l’angoisse, la solitude et une forme d’appel au secours, proche du contenu des lettres que s’envoient les deux filles.

« Mandy, ne me sers plus tes foutaises comme quoi la taule serait intéressante. (…) Cet endroit est un trou. Qui t’aspire, qui te bouffe, plus que tout ce que j’aurais imaginé et c’est dur de garder mon calme quand tu m’écris, en gros, que ça a l’air chouette. (…) J’ai juste explosé quand j’ai lu le premier paragraphe de ta lettre. »

Ce texte décrit la souffrance que Tracey éprouve dans la prison, au fin fond du Bloc A. Par ces mots, elle exprime vraiment une forme d’appel au secours.

 

 

 

Mon livre en trois mots :

HUMAIN-POIGANT-CAPTIVANT.

 Ce livre est humain car en le lisant, j’ai reconnu une réelle humanité présente en chacun de nous. J’ai ressenti une réelle compassion envers ces deux jeunes filles car cette humanité est présente en chacun de nous, je la définirais comme une caractéristique de l’Homme qui est singulière à chacun de nos actes et à nos pensées.

Ce livre est poignant car certains passages  montrent le malheur, la solitude et la fragilité des deux filles:

 » J’ai commencé à lire l’article et découvert que c’était mon père qui avait commis le meurtre… »

- Ce livre est captivant car jusqu’à la fin, le suspense est toujours présent. Qui le père de Tracey a t-il tué? Qu’est ce que Mandy a fait pour se retrouver en prison? Steve cessera-t-il enfin d’être violent avec sa soeur? Ou au contraire sa violence va-t-elle s’aggraver?l’

 L’auteur:

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  John Mardsen est né le 27 septembre 1950 en Australie. Il est un écrivain australien, enseignant et directeur d’école. Dans sa jeunesse, Mardsen est devenu dépressif. Il commençait à avoir des pensées suicidaires et son psychologue lui a conseillé d’aller dans un hôpital psychiatrique. Son séjour à l’hôpital lui a été très utile car il a commencé à apprendre beaucoup sur ses sentiments et son rapport aux autres. Ensuite, il a commencé à écrire des romans pour adolescents. Ces oeuvres les plus connues sont: la série de romans « Tomorrow » et le livre  » Lettres de l’intérieur ».

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L’artiste :

Edvard Munch est né le 12 décembre 1863 à Loten , en Norvège.  En 1868, sa mère meurt de la tuberculose et sa soeur meurt de même peu après. Ses tableaux reflètent avec réalisme la maladie, la mort, la tristesse et la solitude. Il devient un grand artiste du XXème siècle.  Munch meurt en 1944.

Un nouveau titre pour ce livre ?

Ce serait  Au fond du cri car ces deux adolescentes éprouvent une grande souffrance qu’elles ont envi d’expulser, au plus profond de leur cœur, par exemple en criant. Ce titre correspond aussi aux cris qui peuvent s’entendre, au fond de la prison, dans le Bloc A où se trouve Tracey.

«  Quand j’ai commencé à lire ta lettre, je suis entrée dans une telle rage que j’ai eu du mal à terminer. (…) J’étais si furax que j’ai balancé ta lettre. Avec l’intention de ne plus jamais t’écrire. (…) Je l’ai gardée deux jours, puis en fin de semaine je me barbais tant et je devenais tellement dingue à force de ne rien faire que je l’ai relue. Ca m’a encore fait exploser, mais au moins quand tu exploses tu sais que tu es vivante. « 

Cet extrait montre la rage – les « cris » – intérieurs, présents dans le coeur de Tracey, mais cette rage l’aide à expulser sa colère, ce qui la pousse à réfléchir, donc à avancer et à faire de meilleurs choix.

Une nouvelle couverture ?

au fond du cri juliette

 

 Mon impression sur le livre…

Je pense que la forme d’un roman par lettres donne une sensation de réalité, par l’intermédiaire de l’en-tête qui est toujours présente dans une lettre. Comme ces lettres sont intimes, on se reconnait aussi dans le langage de l’écriture. J’ai beaucoup aimé ce livre car il fait réfléchir : Malgré les différences de milieu social, si importante dans la société   on découvre que finalement ces deux jeunes filles ont de grands points communs, elles ne sont pas si différentes.  Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les histoires très émouvantes…

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http://www.dailymotion.com/video/x187h89

Juliette 4°7

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CALAMITY JANE

Posté par rabelaisblog le 9 décembre 2013

Calamity Jane, Lettres à sa fille

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CALAMITY JANE dans LECTURES CURSIVES coyote11

Si mon livre était un animal, il serait un coyote errant dans l’Ouest américain comme l’héroïne qui traverse le pays sans but. C’est une femme forte provenant des plus sombres mais néanmoins glorieuse années de l’Amérique. La cow-girl effectue ses tâches (elle tue des brigands, arrête des bandits ou exécute des voyous) seule. Cette cow-girl a vraiment vécu au temps du Far West, des shérifs et des saloons. Ce fut une des seule femme justicière de l’Ouest dont l’histoire se souvient. La seule chose qui la tient en vie est sa fille qu’elle a confiée à un ami proche et qu’elle ne voit jamais, et le fait d’écrire sa vie dans un carnet. Elle lui porte un amour démesuré sans même être à ses côtés

« Hantées par la solitude, les pages jaunes imprégnées de larmes sont le témoignage d’une femme livrée à elle-même et souvent mal comprise. » 

 

 

 

WE_vieux_livre dans LECTURES CURSIVES

 

Si mon livre était un objet, il serait un vieux carnet en cuir car sans ce précieux objet,que l’héroïne emporte partout, ce livre n’existerait pas. L’héroïne n’est rien sans ce carnet, elle est seule avec son cheval. Je pense qu’elle se dit: « écrire sinon mourir » car rien ne la rattache à sa vie. L’écriture fait en quelque sorte vivre sa fille à ses côtés.

« Ce porte-plume a été fabriqué en Irlande. Je le porte attaché à ma selle avec ce carnet et j’ai l’encre dans ma poche, de façon à pouvoir écrire à côté de mon feu de camp. »

 

Si mon livre était un aliment, il serait un plat sans goût ni saveur, ce qu’est la vie de la cow-girl solitaire.

« Une autre année est passée. Rien d’important n’est arrivé sur quoi écrire. [···]
Quatre années ont passé et je suis de retour à Deadwood. Je suis fatiguée et me sens si vieille. »
 

Si mon livre était une oeuvre, il serait la chanson de Stevie Wonder à sa fille « Isn’t she lovely ? » car tout le livre parle de l’amour que porte une mère à sa fille. Calamity Janes n’écrit que des lettres à sa fille pour lui parler de sa dure vie et lui dire combien elle l’aime. Ces lettres ne seront jamais envoyées mais, elles font vivre l’héroïne. Cela lui permet de rester en contact « imaginaire » avec sa fille qu’elle aime tant mais qui ne saura jamais que cette grande figure de l’ouest sauvage américain fut sa mère.

Image de prévisualisation YouTube

Ce livre est à lire une nuit de pleine lune entre 0h00 et 1h37 dans le désert et accompagné(e) de son fidèle loup de compagnie… Ou plus simplement lorsque l’on a envie d’être seul.

 

La minute joyeuse :D

Une petite image pour nous rappeler que la vie est bien moins dure qu’avant. Voici Jessie la cow-girl du film d’animation « Toy Story » de John Lasseter, qui est apprécié par un grand nombre de personnes (dont moi :) ).

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Merci de m’avoir accordé un peu de votre temps et n’oubliez d’sourire xD !!

 

Le titre que j’aurais choisi pour ce livre est :

Je t’aime, ma fille

Tout le livre est basé sur l’amour de Calamity Jane pour sa fille…

Pour la nouvelle couverture j’aurais choisi celle-ci qui est une image provenant du film de Gore Verbinski : « Lone Ranger »

Je trouve qu’elle illustre parfaitement l’histoire de Calamity Jane.

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Je n’ai pas aimé ce livre et je n’essaye pas de le vendre j’essaye simplement de le décrire tel que je l’ai lu. Je ne peux rien dire d’autre sur ce texte que j’ai trouvé ennuyeux.

 Clémence 4eme 7

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